simplement « entreprendre n d'observer ~Aura dé cette personne. Mais il la verra, s'il existe dans le monde spirituel un motif pour qu'elle se dévoite à lui. Ces quelques remarques n'ont d'autre but que d'atti.reri ~.nhondu lecteur sur la méprise à la q uelle est due l'objection ci-dessus. La science spirituelle a pour devoir d'indiquer la voie par laquelle les hommes pourront atteindre la vision de l'Aura. A celui qui cherche la connaissance elle ne peut donc répondre que ceci « Soumettez votre âme aux conditions qu'exige la vision et v.usv.nre~ serait évidemment plus commode que les exigences de la science naturelle ci-dessus Indiquées fussent satisfaites. M~s en s'en réclamant on prouve qu on ignore jusqu aux premières données de !a science spintueUe.
L'exposé que nous avons donné de t'Aura humaine dans cet ouvrage n a pas pour but de contenter « l'attrait
du sensationnel.» qu'exerce « l'au-delà ». tet a, ne
du sensahonnd ou exerce « i'au-detà Cet attrait ne
se trouve satisfait que lorsqu'on lui apporte une conception de- l'esprit qui ne di~e en non des conceptions Propres au monde physique et qui nous permet de rester commodément cantonnés dans ceUes-d. Les remarques que nous avons faites (p. t73) sur la manière 'Péaaie dontt! faut se représenter la couleur de t'Aura devraient suffire à nous préserver de pareilles erreunt. il fautaussr~ue -celui qui cherche à se faire une idée exacte de ces choses comprenne-que Famé humaine