Ma main en fe donnant prendra tes KUMtez. NtCOMEDS.
En e&-il dont la fuite offre â voûre di<gface. EttSE.
Ayez foin feulement de voir ce qui &paCe t Et croyez quel'eSbtt où s'appie&e ma foy b
Quoy qu'il ait de fâcheux, fera digne de moy. N t c o M E D E.
Et bien, Madame, il faut dans ce peni extrême Oiectout, faire tout pour vous contre moy-mefme a Rompte avec les Romains, leur tavit Ann&al, Et tout cela, pcut-e&re en faveur d'un Rival. Au moins fouvenez-vous fi ma mort vous attache A J'indigne attentat qu'un Perfide vous tache, Que qui chetcbe à tnounrpoutentomptetescoupSa rouvoit fans trop d'audace oie!: vivre pour vous. B <. i s E.
Tnnc€,moncoeuteittu&e,oeicait ce qu'il doit faire. Adieu, je vois Attale, il fort avec mon Pere. Evitez leur prefeuce, & prenez garde à tout, Tandis que j'apprendrai ce qa'Annibai tetbut. SCENE VII.
ANNIBAL ATTALE, ELISE.
A M H t B A L.
~'E&ttOpvoitie De&in confondre mon attente. Il eft temps de fixer vo&fe fottune citante,
Ma Fille, & qu'un Epoux par le don de fa foy Vous dérobe aux malnems que je ttaine avec moy. II vous faut da repos, Attale vous ra&ure; Du fort qui me pouïfuit t'ec craindrai moins l'injutC~ Et croiraytnompher de fes p!us tudes coups, Si )'empefchepatlâ qu'ils n'aillent jusqu'à vous. E t. t s E.
Qu'ils Vaillent juiqu'à moy! S'il faotmom'îf ou vivre, C'e& voftre exemple <euI,S€igneuf,que {e veuxjfuivïe. Jufqu'icy vo~reMit a regle mon deAin,
Souffrez que fans partage il en regle la fin.
D'alliance des Rois ou chacun porte envie,
Ne peut aenajou&eï l'éclat de ma vie, Il