AMHtBAt-~t~M~.
<!ue ma ptete~ce n'ait Seigneur rien qui vous gefhc. Vous~avez que.
Aï TA tE «~Mt~t.
Seigneur, donnez-moy voftrc aveu,
TBt l'hymen dès demain couronnera mon feu. ANNÏB At aJF~MittStM.
Vous voyez que malgré les malheurs qu'on m'oppose, ].. 'honneur c'eC~e mon Gendie e& encor quelque choie.
FtAMtNtUS.
Attale a fait fans doute un choix bien glorieux, Mais s'il m'en vouloit croire il y pen&Mit mieux~M~.
Seigneur, fouvenez-vousque fi vous eftes Maifte Rome hait les ingrats, & le fera connoïnK. Vous pouvez 1~-deuus écouter voftre amour. Ttenezpout y longer le K&ede ce {out,
Tôt): ne vous perdre pas ma bonté vous le donne. ` A N N ï B A t.
Pon~ moy, j'ignore l'att de contMindte petfbnne, t Et ~ns m'inquictet de ce qu'il refoudra
Je luy lauÏë à ion choix tout le temps qu'il vocdM. Au moins fuis-je anëurë que par mon alliance tl Ctamdfa pea 1'anront de trahir fa naiNance Et que jamais l'exil d'un homme tel que moy N'ama rien don: l'éclat faue rougir un Roy. FtAMINtUS.
Vous avez le coeur haut, le bel orgueil y tegae. A N K 1 B~ A JL.
Anez pourempefcher qu'aucun ~oy ne vous Ctalgoe, Et fi de Prufias mes confeils font rnivis,
BLome attendra long-temps qu'il vous livre fon Fils. Le voir ttops'abainetibusvo&re tyrannie ?& tout ce qm me ~em chaËët de Bithynie.