Cfoyez-ïe.
M. DIMANCHE.
Mais. Je n*ay point merité cette grâce.
Mais.
D. JvAM.
Servir mesAmis n'a rien qui m'embaHane. M. DiMANCHE.
Si vous.
D. Je A N.
Monueut Dimanche, oh ça, de bonne foy, Vous n'avez point di<aë, difnez avecque moy. Vous voila tout porté.
M. DtMANCHB.
Non, Monneur, uneaffaire
Me rappelle chez nous, & m'y rend neceNake.
D.JUAN jft~tIMHt.
Vi&e allons; ma Calèche. N je trrant.
M. DtMANCHE.
Ah c*e& trop de moitié.
D. JUAN.
Pepefchons. j
M. D t M A N c a s.
Non, Monfieur.
D. J~AK.
D. J Vous n'irez point à pié.
M. DIMANCHE.
MonCeof, }'y vay toujours.
D. JcAn. eft vaine;
La teS&ance e& vaine; â
Vous m'e&es venu voir je veux qu'on vous temene. M. DIMANCHE.
J'avois-la. D. JOAN.
Tenez-moy pour vo&re Serviteur.
M. DIMANCHE.
Je voalois.~ D. J u A N.
Je le fuis & voftre debitetH.
M. D M A N e a E.
Ah!Mon&eut.