Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 187 à 187 sur 436

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Le théâtre de T. Corneille. 4ème partie

Auteur : Corneille, Thomas (1625-1709). Auteur du texte

Éditeur : chez les frères Chatelain (A Amsterdam)

Date d'édition : 1709

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30272094t

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 5 vol. ; in-12

Format : Nombre total de vues : 436

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k73822n

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Yf-1341 (4)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 0%.


four peu qu'à me vanger je puNe trouver jour, ti m'a manque de rby, je luy reroi& comtoMr?. Mais pourquoy me flater de ce qui ne peut e~re è Puis qu'à l'aimer la Reine a voulu l'engager, C'eft un mal fans remede il n'y faut plus longer. V A L M t R E.

Je vous plains des malhems qu'un icrupuie vous caufc. Mais ce qui me furprend plus que tonte autre chotc < C'eft qu'aimant Theodat vous putOiez endurer Qu'Honcric pour fa Oame ofe tout eipercr. rourquoy fi hautement permettre qu'il vous aime! It-DEGONDE.

yar g!oire, par chagrin, par haine pour moy-mefme. L'Amour, -de ma nerté n'a p)n rien obtenir i J'ay vouju par ce choix le vanger, me punir, b Ou pluitofr j'ay voulu qu'en me te voyant rairc~ Theodat outragé fift agir fa colere,

Qu'il mevut, (ep!aigni<r, ~cpar fonde~eipoit Me marquai fur <bn âme un reKe de pouvoir. EuA-it jamais CHe gloire plus achevée ? t

La fecrette douceur de n'effre point bravée t De jouir de fa peine, & pouvoir innuter Aux ennuis d'un Amant qui m'juroic pu quitter D'un piainr fi fenfible cuft chatouii!e mon âme, Qued'Hohonc alors récompenfant la flame, Fierede mes dédains foultenus jufqu'au bout, Quoy que j'eufiè immolé )'aurots crü gagner tout. JMais avec Honoric j'ay beau m'être engagée, Ce fuplice eft perdu, )eneMspointvanpee, Et d'un Amant rafcheux l'iotpoj'tun embarras. V A t M t R E.

Madame, je le voy ne vous emportez pas. SCENE II.

ILDEGONDE, HONORIC, VALMIRE. H 0 N 0 R t c.

j~NSn d? Thcodat la gïuhe ettaueuree, L~ Racine en fa raveur s'eft toutba"tdec!aréc, Madame, & dcja mefine on parle J'ordonuet La pompe de rhyme~ qui l€ dMttonroMct.

z