four peu qu'à me vanger je puNe trouver jour, ti m'a manque de rby, je luy reroi& comtoMr?. Mais pourquoy me flater de ce qui ne peut e~re è Puis qu'à l'aimer la Reine a voulu l'engager, C'eft un mal fans remede il n'y faut plus longer. V A L M t R E.
Je vous plains des malhems qu'un icrupuie vous caufc. Mais ce qui me furprend plus que tonte autre chotc < C'eft qu'aimant Theodat vous putOiez endurer Qu'Honcric pour fa Oame ofe tout eipercr. rourquoy fi hautement permettre qu'il vous aime! It-DEGONDE.
yar g!oire, par chagrin, par haine pour moy-mefme. L'Amour, -de ma nerté n'a p)n rien obtenir i J'ay vouju par ce choix le vanger, me punir, b Ou pluitofr j'ay voulu qu'en me te voyant rairc~ Theodat outragé fift agir fa colere,
Qu'il mevut, (ep!aigni<r, ~cpar fonde~eipoit Me marquai fur <bn âme un reKe de pouvoir. EuA-it jamais CHe gloire plus achevée ? t
La fecrette douceur de n'effre point bravée t De jouir de fa peine, & pouvoir innuter Aux ennuis d'un Amant qui m'juroic pu quitter D'un piainr fi fenfible cuft chatouii!e mon âme, Qued'Hohonc alors récompenfant la flame, Fierede mes dédains foultenus jufqu'au bout, Quoy que j'eufiè immolé )'aurots crü gagner tout. JMais avec Honoric j'ay beau m'être engagée, Ce fuplice eft perdu, )eneMspointvanpee, Et d'un Amant rafcheux l'iotpoj'tun embarras. V A t M t R E.
Madame, je le voy ne vous emportez pas. SCENE II.
ILDEGONDE, HONORIC, VALMIRE. H 0 N 0 R t c.
j~NSn d? Thcodat la gïuhe ettaueuree, L~ Racine en fa raveur s'eft toutba"tdec!aréc, Madame, & dcja mefine on parle J'ordonuet La pompe de rhyme~ qui l€ dMttonroMct.
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