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~'w<K~< d, la Cc/w~M < !<'« </<' < ~o~<f. .Jt: pos<< te les ~M<'<t/«.<M<< la CoM!t)M //< Valoir </<' /<t ~f, écrilspar elle ?<??. inpfim~~ Londres, (780. Matheureusement quatre ~e< 43-44 ;4~-4< 47-48 ~9~;°'es parles rats. Avant de donner cet ouvrage a retf, je serais fort obiige si quelque intermëdiOmte Mj'htStnt, foss~dant un exemptaire intact, ~ouit bien se mettre en relation avec moi, soit pour teommuttiquer le volume soit pour me (oirecoet les huit ftuiitesqui meminquent.
Ç. Quesne), rue de h République. Montpe)lier.
On demanda t'~f~fO)'~ <<t)~m<~M?M<' Na)MaM par Touchatout.
A VENDRE
A vendre en bloc Archives de /o~ ~M<~ M G««'f<! pendant uni partit du règne de Mis XV. Ces Archives, très comideritbte! et comtes de plusieurs miniers de pi~eet, contiennent
e~tnents d'une //«~< ~'«fw« au mitieu
h xv)))' sieete. d'une Histoire da 1 armr< au milieu
TRAVAUX DE BIBUOTHÈQUE8 t Mme TOTEMS, 88, Rou). de Poft-Roya),~ Paris' a«<it<: faire des trav.tux de recherches aux grandes NtiMiotheques de t~ris, des copier, des traductions ~emandes et eapagnotts.
BIBLIOGRAPHIE
HISTOIRE DE PAM8
Il devient supetOu de rappeler que M. Lucien Mbeau est aujourd'hui l'historien de Paris, au ans strict. Nous avomdetpo&tes, des conteurs, Mtittërateurs de grand tttettt,et même des hhtonous qat nous font eonn~!tfe PirM, mais M. Lun Lambeau a te mérite de ne point qu'effleurer Mn sujet avec Onction et avec grice, mais de le tderde fond encomNe.Quactt il apM!e suruMMtttner<)step)u'!nen!tendtre,sitM))<)u'àeH re quelque chosa a'~tresnent. C~r non seulement a tout vu, lu, retourne et compuhe, mais ft a mtdonnë.
Dans la série de r~f~ ~ww<~ <t«MM'~ ~P«~ ln ~~i) vient de pub)ier~«t<~<(e.hM Ë)fnestt.<!rou)f), sous les auspices du co'tseit générai. C'ei!t un tr.iv.<Hc'jn!iid<!r.tb)e, au point de vue tupogra})))iqu~,cûn)me!tup')i~tdevuehistc'fi(.)ue. Sei~ecititpttresd.x~u'Yutuutedeptusde~oo pj~es épuisent un sujet qu'on aurait été toi') de croire ~ussivat~ C'est que M, Lueicn Lambeau et) atout dit. Hg)ise!e~bfmeme)))SKh~iem<, chapeites.cnxetiere). b~r!i<:r< maisons intéressantes porteurs habitants, événements depuis tes premiers iges jusqu'au temps moderne tout est dans cette tnono<;Mphic ~ui comporte, en outre, un lot de pièces originales dans leur texte, d'une con. suttation précieuse.
Et en illustrations, ou y trouvera notamment la reproduction des aquarelles de t'ataise~u sur tes barrières de enceinte des Fermiers-généraux. 1 C'est également a Paris que MM. Pau) d'Ariste et Maurice Afriv~ti! ont consacré leur érudition. Z<f C/«-F/)'«'<!t, F'M< A~O~A~ At't/O~Mf Il <!M<~o~y«< /«!~M'J HOt /o«rf, iitustree de plans et de 94 estampes. (Chez Emi)e-P.)Ut,tcfr.). Le9Ch.tt))ps.E!yseei!, orgueil de Paris, sont en voie de pefdte ce qui a fait leur prestige le tuxe et l'élégance. L'industrie qui a dej~ envahi l'avenue do la Grande-Armée, menace l'avenue des ChampsElysées- cette voie triomphale. C'est le montent d'en écrire l'histoire. Les auteurs de cet ouvrage t'on fait avec beaucoup de compétence et de talent, dans un ouvrage luxueux.
Ils ont dhisé teur travail en tableaux, donnant à chaque tab'eau son importance, décorative et histonque. La Concorde, le cours la Reine, L'Etysee, la ptaeedet'Ë)c)te,LeCotisee,tes)ardins.)e)ba)~)e cirque, les petits théâtre:, tes cafés-concerts. Les rues célèbres et leurs cetëbrit<!s. Et c'est deux siècles d'élégance, deux siectes d'un Paris qu'on ne reverra plus, qui défilent dans ce charmant katëdioscope. Que de noms illustres, que de visages cetebres que de soleils disparus derrière t'horizon.
!) fallait pour cette résurrection une ptume qui fut indujgente, délicate et légère tes écrivains de ce délicieux ouvrage l'avaient a teur disposition.
Maintenant voici le livre d'un xuido d'un ~uidcitvertiquinevou'.e~repas.M.tiUGKXtPoTTtT. La Sainte Chapelle, cartonné et illustré. (Chez AssetinetHouxe~u. zft. Ce qu'est ce joyau du xm' siècle, ce que furent les trat)!form:ttions qu'il if subit ce qu'on en voit: ceta est dit sans sécheresse et avec une remarquable exactitude.
HISTOIRE GÉNÉRALE
Nous ne connaissons pas tous nos héros et il y a là une sorte d'ingratitude, L'épopée ;mpéria)ea a absttbë nos facultés d'admiration. Nous oublions que ta vieille Fran;< a été prodigue en physionomies de guerriers admirables toute grande guerre a eu se* braves soldats. Ils servaient avec vail- lance, avec intrépidité, ave: intelligence. Ils s'effor- faient à tendre vers M que deviendrait l'art de grouper les masses et de les faire mouvoir en rase i M'npegne, pour des chocs décisifs ils savaient déjà préparer et s'organiser, se fiant moins an hasard, ce qui avait été jusque-~ la caractéristique des opérations. C,7,
Une guerre comme celle de Trente Ans a été une ecote pour des chefs brittant: si amoureux de teur ~tat, de teur patrie et de tear roi. rts formatent des armées et leur enseignaient la discipline, its n'en