)(t question Quel est l'auteur de la brochure «Comnx quoi Ntpoteot'n a jamais ~xiat~?" n Je crois pouvoir le faire p)u~ ;jn!p!ct<;ment Je posMde en effet un petit volumo intitulé
/.ft~C"W .~0/<<:M«t'~ <~ "~tt~~<'Mf .V~~n r!tto~)tees par H. de Balzac, A. Toute! et P. Soulié, suivie* de c Co<Ht))e quoi N~po)éon x'a jamais existe &. recueillie par Arthur Uetanou'i, Paris, Panard, tibrfore-tfii.teur, t8~
Cette dernière partie est précédée de ce titre
C~M'MO/t't n'a /<<W<?<f<M au ~<!af/ ~Mff<M MMff'f <ff<M ~OMA~t- </<«< <<'«'~M''f! il M0~<' dans /'A/t<<)<~ du )[)X< tt~ par feu M J. N. Pères, A 0. A M. bibliotht~ire de )<t vitk d'A~<n
Agréez, Monsieur, l'assurance de ma considération Jisttngu~c. F. GIRARD. L'éditeur ajoute que l'auteur a voulu faire la critique de t'ouvrage éminemment paradoxal qui a pour titre <t Origine de tous les cultes » de Dupuis.
Soubs la corde des Sainots ~LXtV; LXV: LXVt, 75, t:6, )69 224, 660, 8;t). Danssa répons: (LXVt.!6~au sujet du mot « sainctier M. Piton dit, que pour lui,Dom Jean François n'a aucune autorité. C'est aller un peu vite, car cet auteur passe et avec raison pour un érudit. Ses ouvrages sont fort estimés (Voir DictionM<K'M da /)<<«fM). Son Dt'c~'OHtMt~ KoMMM-M. <M~<' etc. est surtout « très-recherché ? (Voir Brunet).
Dans ma note (LXV, 847) j'ai TappetÉ la citation d'un < Mémoire E de la chambre des comptes de Paris, (année '}<)<). (Voir « Ducange, Sanetuarius), qui ne laisse aucun doute sur l'existence des « Sainctiers~. hommes d'église. M. Piton n'a pas relevé cette citation dans sa réponse précitée.
H y avait des femmes dites < Saintières~. tjutianna dicta « La Saintiére~ u (t3y6, chart. eccl. cenoman., CCXV, Le Mans 1860). »
Dans le D<c/MW«MM de J<~OHM/~M~ de l'abbé Montignot on trouve « Sanctuarii ?. habitués, attachés à une église, hommes <t Sainctiers. >'
Roquefort, dans son Glossaire de la langue romane donne « sainctier ?, homme libre qui se fait serviteur d'un saint, etc.
On trouve également dans le DictiontMw <&< noms, de Lorédan Larchey. f saintitr homme libre. se faisant serf
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d'église (oii). Tous trois sont muets sur « sainctiers ». fondeur de cloches. Comme je t'ai dit dans un numéro précédent, s'il y a eu des Sainctiers s ? fondeurs de cloches, il y a eu également des « Sainetiers &, hommes d'église. Cela ne fait aucun doute.
Dans la même réponse, M. Piton ajoute qu'un < boutier n'était pas un échanson à proprement parler, que l'office de « boutier n'existait qu'à la cour du roi et que cet officier effectuait le mélange de ia bois.son daM un bassin où puisait F échanson. Roquefort déjà cité, dit « boutier ?. échanson qui a soin de la cave. en bas latin, "< butieutarius c. De ce qui précède. il y a lieu de condure qu'un boutier ou un échanson, c'était absolument la même chose.
Dans dom Jean-François, on trouve aussi << Pocillateur «, échanson.
AtME THOUVBNtN.
Epatant (LX!LXVt). -DesD~ Depuis que l'Académie, daos son dictionnaire, a daigné octroyer à ce vocable familier sas lettres de naturalisation, on se perd en conjectures sur l'origine du mot et s :'n sens véritable. Nous en &ons déjà indiqué qael. ques-unes. Un lecteur nous écrit <t A propos du mot ~<tM~ on se liyre toutes sortes de fantaisies étyn')o)o);iques autour du mot ~<tf<~ auquel on en suprime une de patte), un des t en l'espèce.Or il est aident que le mot ~<t<o<t< est de formatton analogue à celle du mot ~~< « F-f«/Mt,F ~M~. Cvla est o«M'W aux yeux de tous donc ~ti)tant, dblouissant, par conséquence étonnant, surprenant et même r~)versa')t. Les pattes n'ont rien à voir )a-d~<tts ït n'y a que l'orthographe qui a transformé l'; de en a comme participe présent du yetbe ~t!~ <tr~, vetbe d'un sens primitivement et ètymologiquement M<«<y<, ~«~ être ouvert tous, être clair, évfdent que t'asege rendu actif e épater quelqu'un de mihne éblouir quelqu'un. a ici le sens de ex dans exposition, ta mime sens que le <KM allemand dans «tH~/e~M et ntm paa t~ sens priyatif qui serait un non sens, s'il devait s'appliquer des humains. > VrpmbiMament(LXV!4o, 660). Notice extraite de Larousse Af<Ut<~ ~H'M, novembre !0t2.
P. R., Paris. Dans le dernier numéro de t'/i~wA/«t<r<' des C<<'f< CuW<w.)f(<o octobre '9'~), un des eofMspOtt<t<nt< de cette utile at intéresseatt revue dit