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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tel ordre et a gauche cdle Je tel autre. Au reste, les grands di~mt<ute% qui p0h scdcnt un ~rand nombre de pta~ues, lc~ mettant. saut'erreur, a JfuH~ ou a gauche, suivant la ptac~ dont ils disposent sur leur Uniterme ou leur costume o)t')ciel. BosoarJ (XLH XVIII LXV, 02. LXVI, 2to~2;). Mes confrères ont remarque ~ans doute que M. de Fonfnay s'est occupe de moi,dans le n" du to septembre de notre revue qu'il y a fait de l'esprit, a mes frais, et conté des choses qu'tl savait mat mais cela n'a pas d'importance. U est cependant un point où il me plait de te désabuser. 11 dit et répète que je perds mon temps à dériver le français du grec que je lasse, parce que personne n'est de mon avis. (e crois que M. de Fontenay se trompe mais lors même que ses dires seraient vrais, prouveraient-ils que ma thèse est fausse i' A-t-on jamais établi une vérité, à la pluralité des suftrages ? J'ai déjà dit ailleurs. que Galilée et Chystophe Colomb avaient eu raison contre tout le mo~dc. La vérité n'a pas besoin d'appui elle finit toujours par triompher. D'ailleurs est-on seul dans une question de linguistique, quand on est a~ec Henry Estienne et les autres grands hettënist~s du xvf siècle Cette illustre société me dédommage un peu de l'opposition de M. de Fontenay. Pourtant, notre confrère satisferait ma curiosité, en m'apprenant comment il a su que les articles que j'envoie à 1'/«<~M<M«M''<' impatientaient et qu'on était fatigué de me lire. N'aurait-il pas pris ses désirs pour des realités ? Ce serait très humain.

Quoi qu'il en soit, il est hors de doute que M. de Fontenay a une dent contre moi et j'en devine la cause. Il y a huit ou neuf ans, il publia quelques étymologies, secundum Menagium, qui nesoittcitèrent l'attention de personne et comme je ftsparaltM. moi aussi, t cette époque, les origines de ces mêmes mots, et qu'elles parurent, seules, raisonnables et vraies. notre confrère devint aussitôt mon adversaire. )'ai encore, depuis peu, remué de nouveau sa bile, sans m en douter, en citant dans un article, le mot boMard, vocable grec, qui signifie pi. ~eon, et, au figuré, parasite, et dont no-

tre confreri; avait fait un bossu, conttm s'it y Avait quoique rapport entre un pigM-, et un bossu Mais ksnéotatim. y.ux sur Littr' ne doutent de rien. Ct. im-ci(Vt-'yci'sonD~<OMM~<-)nedt:ri~ t-Hpas penser de penser :< parce que pour pan~r quelqu'un ou quelque ctttjM il faut d'abord y penser. Conuxe « ~rand homme raison Un vétérinairc panserait-il jamais un cheval, &'it ne p<n sait qu'il doit le panser ?

Laissons le patron pour revenir a') dis cipte. c'<:st à-dire à M. de Fontena) Ot a vu tes flots d'ironie qu'il a versés sur moi. Presque a chaque mot, il me rappe. lait le r:val d'Horace, et le vers du c<)< bre poète

Crispinus minimo me provocat.

Voità Crispin qui du petit doigt m'<ppelle au combat.Car notre confrère n'enttt -1 prose que de termes guerriers. Ce n'est .,ue cheval de bataille, épées fourbies. première et seconde croisade, etc.. et r puis, ce qui est renversant, qu'on me pardonne ce verbe populaire, il s'écrit Il que c'est moi qui sonne la charge, que le grec échauffe trop ma tête et.s'it osait.i! me conseillerait d'acheter la P~oH~< française de Bourciez, pour rafraîchir mes idées et assainir mon jugement. DARO~,

DAMU.

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Nous avons communique l'article ei-<t<5~s a M. G. de Fontenay, afin qu'il pt)i!'< y répondre <hn'. ce même numéro et clore là polémique en ce qu'elle a de personnel. En ce commencement du mois de novembre consacré aux disparus, M Daron, pour mieux m'écraser, veut bien se comparer à Horace, à Galilée et i Christophe Colomb. C'est une manxft comme une autre d'honorer les morts, et ce n'est pas la plus mauvaise.. pour le vi, vant.

Mes coMègues me permettront saai doute de ne pas répondre aux aménités de M. Daron, puisque. parait-il, c'est mot,t< le lapin, qui ai commence. Je demande s<u lement que l'on compare le ton de m' note du <o septembre à celui que prend M. Daron. t'ajouterai que je n'ai ni dlnl t ni bile contre notre collègue et que je M t le connais aucunement. Ses articles, t1 est vrai. m'agacent un peu, comme ils ap çaient M. Paul Argelès (voir sa notedu