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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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«Or.quandun.b~tiut'ondeetMSseurtde Vineeuno!idt'(it!U('ite;)L)edec~np:<t;nt!,6. audo't':sut<d,JirL)~nt:M~rayon'.surte cuirbouiHi,f'i~ut.:t)!)c';te!<o~).t~ .tuti.nt de vitres. t.c [roup~r a 'ni tr.~jv~ )-' motjuited.)nsd'se<ijbf.tb!<e)r.mt!;t:tncex. Les petits chasseurs Mouvf:t)en)cf~;t<;C!i furent baptises c<7f<tf.t pour tnujo'irs. "Donc,sionacricm)tS~mf)ej'!)esage des ct):)!«aux <: Voita les vitriers qui pa!<et)t!~c'e'4t parce qu'on les d~igtjait ainsi t)epu!s)ongt'imp~.

<A)':tppui déco que j'; vous dis plus haut j'ajouterai qu n'était pas du goût d~< officiers de chasseurs tic s'entendre qualifier de la sorte, et :e )e commandant iu S" bataillon, pendant la campagne d'Algérie, considérait comme une injure faite à tout le bataillon cette nnpeHittion de p<Mo' adrestëe m&me à un sifnptetroopier.Tout homme du bittaitton qui ne provoquait pas en duet le soi-dJMnt insutteur avait h f~ce m~~ du c~té droit. L'!shomme< portant la moustache et le bouc. personne ne laissait pim~r'o mot. Mon pare, de qui je tiens ces détails, <!< <!t'~ t~«.f lois sur le terrain jtjMf avoir M <fit< de vitrier, et cela bien <t!)t<t< ~N~.

Ten ~ns pour définitive cette explication, et prenons congé dos petits chasseurs, des alertes vitriers, qui, maintenant necM<ent pas les vitres pour <ip<!U.

Enseignes littéraires desooif?eare (LXVI, 38r). )e m'étonne que le confrère V. A. T. n'ait pas relaté sous cette rubrique l'enseigne d'un coiffeur de la rue de Tournon, n° at, que maints parisiens doivent connaître, car outre l'inscription grecque de Paris, boulevard Victor-Hugo et de Roch 'fuft ~Charente-inférieure),j'en trcuve plusieursautres sur les panneaux de sa devanture que je crois intéressantes pour les lecteurs de t'nM.JMM<.

Au surplus, je les reproduis littéralement.

Sur la porte vitrée se !it le nom du patron actuel

Riefingit Sotefs hodierno mère capillos, Dextra noturaeque novos ers addit honores. Et sur le panneau de droite

H.J.

JOUSSEUN

MAtTttE BARBtBR, PBftRU&UtBtt DU 9ÉNAT KT AULTRES.

et au-dessous le distique tatin

le Kt'jM" T&tMT<t }t<tt atm~ (tant apprécié

des clients taciturnes et pressés~ Et ces vers fr~n~~is en vieux tanguaige \'ou!f)U)rcsvMd']\'uirpea~dou'ceb)jt).:ht ttfifif!

Oij;nei!-vousch.);~)!)~ji)dect)rj!n)<f)or'e (DomEnniiod'ËxciJcuitt~t~.t~,). tcyM~istreJomtetin, barbier r)ts<: te.')<uat, ~Momode la So;bonn<t, frho t'AcaJemi'. chc. –Enf!nontitsurtepa'ncauJe~u Sta,vitt<'r,eredee))pt)tj)urt!!<}umih( DHHt:R'AMS.

Leman'T.G.547 LXVt,c)6, 22~7;)). –A Cherbourg, il y a 20 ans environ, duni une petite rue aboutissant vers le terr.)i!) de Chantercyne, j'ai vu pt isieurs foi~ de~ rondes de jeunes gens, garçons et nitcs, sous une couronne d~ fleurs suspendue au milieu de la rue. jo crois que c'é;ait aussi au mois de mai; de même qu'une traditionnelle promenade à Martin v:<t t'on dansait sur l'herbe et buvait du lait. SGLPM.

Origine du salut masoulin (LXVI, ~88). Cette demande intéressante soulève deux questions connexes

A. M~ social du chapeau. La mode nouvelle, citée par notre collègue, de se promener dans les rues nu -tête, mode sans doute éphémère introduite par hygiène ou plutôt par snobisme, implique une rupture avec d'anciennes traditions concernant la valeur sociale attribuée au port du chapeau. Sans qu'il soit nécessaire de remonter au légendaire chapitre d'Aristote sur les chapeaux, les exemples sont nombreux qui confirment l'importance attribuée au couvre-chef. Dans l'antiquité, comme aux temps modernes, il pouvait être

l) ~mH~Mf de classe sociale, tout comme d'autres objets mobiliers ou immobiliers, canne, trône, etc. Les esclaves romains prenaient le pileus au moment de leur affranchissement (capere pileum, Saguo-Pottier, DM/ des ant., s v. Pileus p. ~St). Saint Louis avait imposé aux Juifs te port d'un chapeau pointu, et au temps de l'Inquisition, tes hérétiques etaient conduits au bûcher la mitre distinctive en tête. Est-il nécessaire de Mppeler le rôle du chapeau dans l'Eglise, ou