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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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dans le monde, il est précieux de savoir a qui l'on s'adresse, pour éviter tus impairs et na parier ouvertement ~u'~nue ~ens de métnc ~orte. ici, la tiherte de la causerie, du laisser-aller, chère a Montaigne, La Hruyere (C~r~f/'M, ch. V) et à tant d'autres, prime et primera toujours, heu reuscenent, le désir d'e~atité. le corn prends fort bien en conséquence cette nouvelle noblesse républicaine ou bourgeoise, critiqu!'e ici même assex vertement, qui se forme Jans tes noms de fa.mille par le trait d'union. Je n'en connais personneU.ment aucun titulaire mais j'accepte volontiers qu'il y ait des Ernest-Picard, des touineau-Gambctta, et des Jules-Simon. Je trouve fort plaisant de constater que tel républicain sous t'kmpire, dont je possède un autographeantimUitaristea l'extrême, ait laissé des enfants qui. aujourd'hui, écrivent des livres d'un miti'.a) isme parfait.

Quant au rêve de ptacer tous les «ens sur une même ligne de départ au début de la vie, c'est une chimère cornue.D'ailleurs, dit la Revue J'Z'<m~oMyg qui la rejette sans pitié, <c ceux qui, partis d'en bas, arrivent au sommet ne valent guère mieux d'habitude que c*:ux qui pourraient s'y trouver natureUement (janvier tôt: p. )2$). Et t'fM~eMM vient renchérir, en demandant que dorénavant toutes les famittes, riches ou pauvres, nobles, bourgeoises, ouvrières ou paysannes, aient leurs annales ou leur dossier, ce que je ne saurais trop approuver pour ma part, (Q<«t<~i~&w., juillet ton, pp. 6~-66~. !~on, nous ne marchons pas dans le sens de la fusion démocratique et sociate. En résumé, dites à un Français < Nous ne pouvons frayer ensemble parce que nous ne sommes pas de la même caste Il bondira de colère et d'indignation. Mais dites-lui posément c Nous ne pouvons vivre dans l'intimité, parce qnc nous n'avons t ni les mêmes sentiments, ni les mêmes idées, ni les mêmes be« soins,ni les mêmes croyances », s'incti*nera, d'autant plus qu'il s'isole de même quand il y trouve intérêt. Cependant ce sera la vraie cause des séparations sociales et }e tire précisément la formule d'un livre sur l'Inde.

Uue réformation des titres de noblesse, telle que sous Louis XtV. ne changerait absolument rien aux situations préMntet.

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!t n'existe point de titres aux Etats-Unis; pourtant, les relations y :,unt ditOcitcx, distantes; les potiticicns y sembkntcn quoique sorte à t'index,<)a;)otitiuufet la societc mondaine, nu ~rand dcmntagc de l'unc et de l'autre, n'ayant, pour ainsi dire. aucun rapprochement « (Le 7<M< cd. hebd., t)A()Ut t0t2; p. 622).

Un dernier mot. En Angteterre, la pairie est restée le monopole de i'atnesM d:)n:i les familles parc<? que le Royaume tnsuhirc s'est trouvé devenir naturellement unt: monarchie plus parlementaire que militaire et, dans une assemblée délibérante, il suftit q".e la famille soit représentée, mais il ne convtcnt pas qu'elle le soit par p!js d'un membre voyez nos conseils municipaux. La France au contraire, avec ses frontières vutnérables, n'eut jamais trop d'ofticiers tous les nobles furent enrôtés au s''rvice et, depuis la disparition du régime féodal, tous, ainés et cadets, jouant à l'armée le même rote. ont réclamé les mêmes titres qui les consotaient de prendre leur retraite avec une mince pension et une simple décoration sur leur < uniforme de capitained'infanterie h.'bit btanc, revers roses ou bteudeciet.frisureàt'oiseau royal, ce qui fut advenu à ces deux contemporains illustres, Napoléon de Buonaparte et François de Chateaubriand, si 1 l'ancienne Monarchie eût persisté. (A~M. ~'0<f/7o<M~,VI, 8). Les mœurs ont, en matière nobiliaire comme en bien d'autres, primé l'ancienne règle, ainsi que le tangage du peuple finit par primer le Z)<~«Mt<M<M <~<! l'Académie.

BmTANWCus.

En ce moment à la campagne, je n'ai pas sous la main les éléments nécessaires pour répondre à t:t questton de M. de Rougé relative aux titres des fils de pairs de France.

G. OH LA VBMMtMH.

Annoiriesàdéterminer: 8 ab~ilt.~ (LXVL4}y. 56}). Les Barberini,deFlorence. portent D'~«~ <t <!t<-<~ d'ar~<-<:<. La famille de Barberin a la même origine, II est probable qu'elle porte tes mêmes armoiries.

FAULTMMt)T.