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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Thiers et Gambetta un prétendu mot de *pMers 9uy les ÂI~aciena (LXV!, !;o.0f. 350. 49)). A propos de l'affirmation de M. de Chau~iordy, (n° du ao octobre )Qt.:),jeme permets de signaler le passage suivant, que je trouve dans Graf Bismarck und M<M< ~<M/~ de Moritz Busch.

Rans un de ses propos de table (VeT.saillps f' poverpbre ~70), le Chancelier de fer s'exprima en ces termes Thiers avait, au cours de la conversation, voulu parler des provisions do vivres se trouvant atcr~ Paris. Je l'ai alors interompu en d)!~ 9 Par~op, nous sommes mieux informes que vous, qm n'avez pMsë qu'un seul jour dans la ville. Us ont des vivres jusqu'à H~ janvier li faUait voit ta figure étonnée qu'il fit Or. jd n'avais essayé que de lui tirer les vers du nez (<tM/ <j'<M~<*Att~<SA~==touche la der~<en<ibte), et son étonnement me montra qu'il n'en était rien.

dei'~mpereur'.ony~ consatv~ une partie de son an)eub)<ment elle cat <'ccup'!o par le gouverneur de t'ite.

Pt)erit):)~e SiXt ~~arti~~f), maiiton da campagna qu'habitait quotquefoii. Napoléon, à une bonne tteuc de Potto-~rrajo; un chemin de traverse nxne à cette modeste maison la vue s'étend sur titradeetf't ville.

Dana)tM))e~ mander, peintures fretques, du reste assez <uediMXts, qui repr~Mntent quetques seentt do la Campagne d'Egypte Bustes d'ËHMBacciocb) et de son mari. Lit maison appartient a Motie-Louxe qui la loue ~ooo /f. par an.

Que de pensées assaillent t'esprit en visitant cette modeste demeure 1 et c est là qu'on croyait enfermer celui dont ta couroune de Charlemagne ceignait le front.

Qui a br~Ié MQ90QU ? Eat-ce Rostoppbine ? (LXVt, 38;, 447. ~o, 54~). Peut-être notre honorable confrère M. trouvera-t.il quelque chose d'intéressant dans tes pages 28; et suivantes du 3* volu.me de ~«~M en par le marquis de Cystine, 2* éd. Paris, Amyot, 1843. « P. A. T.

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a ~V<M'~m~'<. <f C'est un homme intelligent et ~im<tt)te, spirttuet, mais t) p'a rten du diplomate, Il est trop sentimental pour ça metier-th. « 11 ne vaut rien comme négociateur, pas même comme maquignon ». On le stupéfie facilement, il trahit ses

P. c. c. Madame 'V~CRM'.

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M))ti)nent!etse!ivr< J'en ai apprit bien des choyas, et entre autres, qu'itf n'ont )j. bas quo pour trois ou quatre tc'nuints .t'~p.

{)[<jvi!ii')m~n~~tcumpt':t~.

D'Voci.

fômmes à destination de Mada. g~oar (LXVI, ~}). L'husMM dc la Satpetri~re fut, des son origine, dastinespéciatementaux pauvres foomes. Vers t68~, on construisit, au centre de l'hôpital, la prison de la Force ou étaient détenues les Incorrigibles.

Les filles envoyées en Amérique en t68o, n'etaient-ettes donc pas ptutotdes orphelines ou des pauvres, que des filles de mauvaise vie?

La sœur St-Joseph (Mlle de LaferrxK, dont il est question dans les notes de M. Tesson citées par notre collaborateur L. Capet), ne fit pas le voyage de Madagas. car en t666. C'est en 167 3, qu'elle accompagna t6 HUes à Madagascar Plusieurs de ces malheureuses moururent peu de mois après leur arrivét: d~au très périrent dans le massacre de Port-Oauphin en 1674, et les survivantes cherchèrent un refuge sur la côte d'Afrique. La s(jeur Saint Joseph se retira à Chau), côte de Malabar, d'où elle revint à Paris, comme l'indique l'ancien registre de ta Satpetrière, à la date du )o septembre f68o. L'expédition d~ 1666 se composait de 200 personnes, squ~pagcs comi.ris. De c< nombre, 490 moururent durant la traversée, et aoo autres étaient M-<'a«! à leur arrivée. Des 32 femmes, 37 étaient mortes. Outre les cétibataires, on avait ainsi embarqué plusieurs famittes surt< la vaisseau atpiraL lé « Satnt-~ean ». Ceci explique, à' mon avis, la présence d'un certain nombre de filles de 14~ !;MS. qui n'avaient peut être pas été tirées Je l'~ôpitat générât. Ma question avait pour but de préciser tes passagère de ta flotte du marquis de Mpndoycrgue. L'ancien registre de !a Satpêtrière, a la date t666 (février oitmars) pourrait nous renseigner sur ce poipt. Mais ou se trouve ce rë~is' tre actuellement?

Les archives de la Compagnie des Indes Orientales révéteraient peut-être les noms des passagers des diverses flottes expédiées à Madagascar au xvn'' siècle. Ousetrouvent-ettes? n~P.