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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tacites. Tout tut inutile et la nxtheureuM victime fut sactifiéé.

Certes, il est incOntestabte que la pauvre comtesse n'était pas du'toUt obligée de s'enterrer dans Un ctoïtre, surtout en faisant choix d'un ordre aussi austère que celui des Carmélites, mats la pécheresse intpénitënte qu'était là t~ompadour étaitelle bien quatineë pour apprécier ce qu'il convenait de faire dans une situation aussi délicate

Ce qu'il y a de certain, c'est que ni dans le testaient du dernier Villats, èn date d'octobre tyo~ ni dans tes deux codicittesqu!-suivirent,il n'est question de la confesse d'Egniont et qu'il est à pe!t<t: fait mention de la Duchesse sa mère dans ce tnemë tes~nnent et; seuterhent, en raison de son douaire.

NéanmoioSt par son codicille du 2~ avril t769, codicille dont c'est le prittcipal objet, le Duc tëgue à celle qui porte sdh nom, les deux tiers d'un domaine en Provence, part qu'il ëstitne Vatoiir yo.ooo livres. C'était peu dé those, vu l'énorme brtune du duc de V!Uars, pr!nce de Mari gués, marquis de la Noc!e, et cela était donné dans une forme bien tèche <[ Je o donne et tëgue a madame la,Duchesse de Villars, mon épouse, etc. > Mais, sans doute, l'indulgente pitié du testateur, si 7on~ qu'eut été le repentir de la matheureuse, tie crut pouvoir faire davantage. S. G. L.

Col. 4t7, ligne iy. il <aut Ure: <: E~ëo.' nore de Choiseuil Traves et non 7'M~.A !a fin du même article, il faut tire encore Chartes-François Ëizéar. marquis de Vogué, mort le t 5 septembre 1783, est le trisateut du marquis actuel.

Villotëàa(LXV! ~8, $o8).–M. G. Lantz annonce deux lettrés, ma)s n'en donne, qu'une. La seconde set!ts«n& doute reproduite dans un pr6<:ham numéro. Pétis, à qui s'adresse la lettre du 9 dé- cembre i8z~, s'en est servi pour redtger t'articte ~Ï/~a« dans sa B/~t<t~'< uni~të«< d~ ~~ti: oit H ~h dohtte même

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S. G. L.

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Voir la seconde lettre

Monsieur Paris tui)iett8~) 1

La iettre que vous m'avez fait l'honneur de m'adM'ser à Tours i)ya quelques années, m'a fait concevoir tout ce que j'aurais à ga. gnet eh faisant votre cohnaissanee, et je m'empresse de vous annoncer que je suis arrivé Paris où je restérai peu de terhs. Je dëeire beaucoup de prdSter de cette occasion pour avoir avec vous une entrevue eoneerttt réciproquement car ne m'arrêtant presq'je pas it i'H6tet d'Amiens rue des Vieux Augus.tins où je demeure, t'en m trouverait dif(!ci)efhent si je n'etax prévenu d'avahes que quetqu'un doit venir ni'y tf~uver te! jour et atetK) heure.

J'<i àpporté avec moi utt ouvrage manu!crit <~ue)e compte <)vr6t' a t'iniprOMton incessamment H a pour objet la demonttration rigoureuse et mathématique de la pro. priété expre$aive des son. natureta de la voix ert ce qui concerne tes divers arts du ressort de cet organe et (tes instrument de musique, par conséquent eh tout ce qui appartient au chant, ta recttatton boëtidte, a fa dee)an)~ tion, :a prenenctàHdh et t t'ëtocutibn ora.toire, du simple ditchurt, tt ttt conversation, à la lecture a haute voix et enfin à )n musique Instrumentale. Je n'emploie d'autres raisonnemensqueceuxdei'~xpo~itioh et de l'explication des &tts euit-memea, constatés pari'exp~rienc~! de chacun et qu'on peut avoir occasion d observer et de vérifier presque à chaque ihttaht du Joui'. Mon ancien ami Lesueur qui a lu ce travail en a aaisi parfaitttheht t'ehsemMe fit tes débita t) en a senti touM t'importahce bar e6 tràvai) Ma tend rien moins qu'à rétabttr entre la musique, fart Oratoire les sciences, ta philosophie,)a morale et la poétique toutes. eqnnaitsancee où elle entra jadts comme partie inférante. nn eitet, tomme toutes ces cor

hait~iheea h'~isteht qUe paf i'Momme e'

pour t'hoM~N, ettes M~ent neeéesairemant' pouf être Men cdmpt~M et.devenir ftouta M~s que t'en fasse une étudé parttcuti&ro d< l'homme et que) autre moyen peut être ptM favoroMe ttc<tt<! étude qat ht eommif sance eMcte du tangage dee passions ? Et ce tangage peut-it être tntetiigibte pour cetu' qui ignore absotument )& propriété expressive dea a<ms naturek de ta wbtx ? Ausat combien de maavats orateurs combien de chanteurs extravagante combien de compositions missidatea tha)gh)Hante< t Mai; te mat est assM cottnu, H Mttait chercher te rëntede ait jS crois t'avoir decou"ert pt assez clairement in-

diq~t.: Ott.M ~gata. E!~usM~;H veu$ p~t

mon bavardage taroMoi~uedë~ fort vieux, )e suis encore tout arMstt je sens et )e