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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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exprés cette phrase qui explique le vers dont parie l'intermédiairistc Nauticus dans sa demande.

Hntin ce dépôt de /.<'M.t< ou /.o<t peut s'observer aux portes mem~dc Paris, notammt:nt a Villejuif, Seine.

P. TAH-1H.

Moabit (LXtt; LXVt, o), 7~. Merci. aux intermédiairistcs <t Qpi' setti et < V. A. T. qui se sont intéressés à l'étymologie de Moabit. Cette que donne V. A. T. est aussi fort vraisemblable. Mais jf me demande si le mot « Moabit p, prononcé par des Français, avec une ditTérence d'accent tonique très sensible, serait resté intact, sans aucune déformation, jusqu'à nos jours, n'étant plus prononcé que par des Prussiens Au reste, je ne défends pas non plus spécialement mon étymotogie, que j'ai simplement notée, telle qu elle m'a été fournie, et à titre de curiosité.

MAUtUCB CHARPEXTtFR.

Origine du nom de Mistinguett (LXVI, t94). L'ouvrage que cite M. Paul Edmond me ia)t déjà t'efïet de faire allusion à un « sieur Mistanguet » imaginaire. D'où. hélas pas d'origine de noblesse pour la gracieuse artiste tant applaudie à Paris. D'autre part et Mlle Mistinguett seule pourrait répondre son nom. à elle, n'est-tt pas un pseudonyme ? j'en ai peur, et je croirais plutôt que la charmante créatrice du « Bonheur sous la main des Midinettes », etc., etc., se serait inspirée d'un vieux mot français (dont j'ignore, du reste, l'origine et la signincation), m!<~)«, que je rapprocherais volontiers de misti, mistigris, et du nom de Mistingue, donné par Labiche à l'un des personnages de « L'Affaire de la rue de Lourcine. A Mue Mistinguett, donc, de parler, et de nous dire si elle s'est appelée «~stin guett de naissance, ou si elle t'est devenue pour affronter la rampe, et remporter tes succès que lui ont valus son espfit, soa talent et son charme ? MAURICE CHARFENTIEt.

Réactif pour faire r&appaMdtfe l'écriture (LXV!94.)~. Danst'/M. ~tm~~r~Paris, '773,on trouvera deux recettes pour <: faire revivre la ptus àn-

cienne. écriture, en redonnant aux caractères presque entièrement effacés leur première apparence et la couleur de l'encre avec laquelle ils ont été tracés. L'inventeur de la première recette assure l'avoir éprouvée avec succès sur des titres des treizième et quatorzième siècle. presque totalement effaces. Cette recette est utile, dit l'ouvrage en question, non seulement aux jïens de lettres, mais à ceux qui ont a fouiller dans les manuscrits anciens, dans les chartes et les vieux actes. Comme elle est un peu tondue, en voici une plus courte et moderne

On prend de l'acide chlorhydrique étendu dans quatre fois autant d'eau, on passe un pinceau imbibé de cette préparation sur l'écriture effacée afin de dissoudre l'oxyde de fer de l'ancienne écriture on trempe onsuite le pinceau dans une disso. lution d'hydrochlorate de potasse (prussiate de potasse), et on le passe une seconde fois sur l'écriture et les caractères effacés deviendront visibles )~.

Un autre procédé consiste à faire une forte infusion de noix de Galle, dont on imbibe l'écriture que l'on veut faire reparaitre. F. JACOfOT.

11 est peut-être assez difficile de raviver uneécriture effacée par un produit chimique quand on ignore la nature du produit emptoyé.Hest probable qu'H s'agit de l'oxalate de potasse, ou de l'acide chlorhydrique. Dans ce cas, l'emploi d'une solution de ferro<!yanure jaune peut alors faire réapparaitre tes caractères, mais avec une routeur bleue Pour raviver les écritures passées par l'action du temps, on emploie le sulphydrate d'ammomaque, mais ce produit qui donne d'assez bons résultats est assez désagréable à employer à cause de son odeur infecte.

MARTttU.UMB.

JLaa ~cri~Mo~br~ (LXy~ 193, ~2). Nous demandons que la < liste en soit close par la reproduction photographique, dans l'McnM'~tw. de l'un de ceux quel'adtnitMstrati~n de notre B<MM <A~«< Nationale met à la disposition du public, de sa salle de travail avec l'aimable mention, gravée et. symbolique, qui s'y lit de la ~Mo~xe /M~Mtt. Cela est, en vérité, trop peu 7*roM«MM RépuM~tM pour que l'on nbuii refuse cette pe-