Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 191 à 191 sur 606

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 69%.


La vie du COtttte et de la ComteMC Dehttiotte apr<! tout eteMtion, est devenue trop célebre pour être ritCMttt~e.

Toute la France at t'tiurope entière ta connaissent. L<a eontpatriote! de eea deux personnage en ~emiMent; et ne peuvent entende tant indignation que M Uetamotte cherche à soulever te voile aur des turpitude* qui le flétriront :t jan):)is, il en est t)n. surtout, M. Le Comte de Beugnot, contetnpotain et condisciple mtme de cet homme. qui connaît toute sa vie, qui t'tt vu au Mte de la prospérité, «Mehaot le luxe le plus eHrené, et qui le méprise maintenattt au poittt de lui refuser les secours pecunten qu'il lui a accordés, pendant plusieurs annet*.

M. le Cotnt* Ddamotto, dprès l'Affaire du Collier, s'était réfugié à Londres, où il avait ttnporte dta sommes colossales, qu'il y a d<.vof~et, en continuant Mw ptodigatit<ts. U < reparu en France, au cOtnnMncomeftt du régime imperu ayant encore quetque! <Mbtit de son an':itttne fortune, et qu'il a ditdpet, MMt <ong<'r au triste avenir qu'il se préparait.

Loraqu'i) a été a bout de son rouleau, il M'a pat eu hottte d'imptorer la Menfattanee de M. te Comte Beugnat, a< celui-ci a en atMa de ;;ét)<ra<jte pour lui procurer des Ofoyem d'tïitteMe.

Pendant ptusieurs années, il a été placé au théâtre de fit Porte 9t Martin, aux appointemens de ~ooo fr. et ensuite di<M!e< maisons de jeuat, a~et rneme rétribution.

De< changetttens arttve$ sue<aMivonttnt <<ti ont fait perdre ces emplois, et l'ont remi; sut Id pavé.

En ta)6, M. Detatnotte.notta fut tecomiaaadë et )ei pefMnn~es qui noue t'adrMserent nous intpirfient trop de reapect, pour que leur )eco<nmaMdation ne (ut pM pour a6nt uti otdre souverain.

Mous Mtiktttmea pour rni une place d'inspecteur d. poUte. et nûos t'avona eu aoua «<? ordres pendant environ ana. sous le «otn de &/Mo/<~ (il ett /<t<~ de s'en convaincre à la comptabilité, ou au person~et) Dan< tecouM de <e~ f'tMticn!, ce Deintotte «ou* a servi dam ta C<M~<<t du bord f<'««, et a été aa<M fidèle dan~ ses inveatigatio~s. t) trou* a été ~gaiement utile pour detoitwtr t!e)Kteottp~ dw parnpMet~ et notammetit la ~<< et !e ~M«<~«f f<~a~f<<. M. le Duc de Cdzeit, alors Ministre de la fdtrw, ayant charfé t'tMpeeteur générât, de ta part de S. M. Lutas XVtU, de. découvrir si Je fameux CorMte Detamotte existait encore, M fat pas peu surprix d'apprendr? qu'it appart<na!t a la Police de Paris, Le Rei en tut )n<or<rt~, et ordMoM qu'on t'engageât a rédiger <e< ménxtiret, que S M. voulait tire «ri~ partot-meote Nous MtMe< charade preNetttir M. CotamoMe, et nous pitr~naMaa il

le d~ider t faire ce que le souverain désirait. Mtis,au bout de qUtf~UM ft'ois. cet "r~hu! vihtnomdirequ'ttneterminaMitri~].;). avant tout, on ne )ut Kt~urtU pas u'~e r~nttou sur )it liste civile.

Cctta 9!(ige.tn~e dttptut au Kot et < M)! Ministre, et on ftbandonM M. De)afno)!t qui, depuis to)S, a végète dans la C.!<p)t)tt, ju!qu'!Ht mortxt' t où ie S'' P.tuisset t'a antre. pris et tivre à M. le Cte DI /'M~, chef du hitrou partieutitr, sous l'administration d< M. UotavMu.

La condamnation de LouiaXV! et I& ù'~no-maçonnefie (LXII à LXVI, 11, ~6. 249). Cagtiostro était membft voyageur au service des Loges lui.même nous l'apprend. Lors d'une excursion qu'il fit de Pologne en France, il s'arrêta a Franctort-aur-k-Mein où il eut des conferenees avec les chefs de la secte. Voici ce qu'il dit à l'Inquisition de Ko ne, d'après les proce~-verbaux officiels de ce tribunal

Je m'en allai à Franefort-sur-le-Mein, et je trouvai Messieurs N. N. et N. N. qui sont chefs et archivistes de la maçonnerie. Ils m'invttetet't ![ atter prendre te café avec eui; je montai dane leur MrrotM, Mhs avoir itv« moi, ni <na femme, ni personhe de ma maison, ~tn<! qu'ils tn'en avaient ptié, et it< t0t thenèrent à i~ tafnpagne, environ trois tni))M de ta ville. A ia favedr d'une lumière dont ils sa munirent, oons descendtme!); par quatone ou quinze marche)~ dans un soutorrain, et noua entrâme~dans une chambre ronde au milieu de laquelle je vis une table; on l'ouvrit et au-dessous étaif une caisse de ttr qu'on ouvrit encore, et dans laquelle j'apérçts une grande quantité de papiers. Ces deux persorides y prirent un livre m~' noscrit, fait dans la fdrrhe d'un Missel, su conMencement duquel ~tait écrit A~M, j!i'<'aM~Ma< des 7f~< ett.Cesmeb étaient suivis d'une forMute de serment con. eue :ans les expressions tes plus horribles, que ne puis mera&petM,Ma!s qvi contenaient t'engagèrent de ~/f0<~ f<"« &'t<f<M< Ce qu'on me dit sur le cmMtt<t <t< <!C ttVM', ~Wt ~< <!<!Wf M ~'<Htf<(M. et le peu que j'eM tua mé coh~rma entOM que cette secte avait détermine tM ~«MitM <f<W/'t sur /4 France. qu'ih

<t<M~ta)prs au <o(t de t'intrtMeetqutt'

Société a une grande quantité <t'ar~ent<)"persë dans tes Banques de f'Europe.. Bnne Ils nr'onr~ent dea Secours, en me disant qa'Ms eMient prête a donner jusq't'it )<"t sang. et je reçus de suite si!< cents )ea'~ Nous retournanxts, ~suite Prantfortdet je Mtttb le fendemMh pour StMsbourg, `