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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...
Éditeur : B. Duprat (Paris)
Date d'édition : 1912-07-01
Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication
Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 53322
Description : 01 juillet 1912
Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles
Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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mcntdoCrav<:)trK:t!t,co)nm<:t(;d!tH. F.. mourut. :t~ar)s)c.ts-'j)t':rnhre)7~2. J'~norctcti<:udt.-).<nai~s:u)H'dcc~ personnage )nihtnir<; NAL'TtCL's. Lamartiae où fut f;om.;osé « Le L~C~~X) M. L~nS.cht-,surc.'t'c question, pubiiee dans te C7.«'/f«. 2~ août t(.~2.un rcm.<)'i[u:<btt: article d'oun0!<s extrayonbtepas~a~ suivant:
ttyatroi<ouquatreans.u'!<discussic'" s'etevt dans t'/M~M~t'a' Aï C/<«f' ~CK~M.< sur le point de savoir quel endroit précis du lac du Bourget la poésie de Litt!)art)[)t avait pu jaillir de son cœur.Je suis en mesure di répondre il cette question. On croit i{s')era)eme!)t que Lac fut co<npos<5 sur la colline de Tr'Si:rvc, à t'end'oif qu'on appelle encore aujouri'hui <t)o bois de Lamartine t, bien que ce bois de ~hat~i~niers n'existe !~u:. C'est une te~en.te que .e<- v~rs mêmes du poète suffiraient détruire. Reti$nn!)e<: plutôt ensemble
Q )at t'annëd à peine fini sa carrière, Et près des tlots ehëri; qu'elle devait revoir, Regarde,jeviens seul m'asseoir surctitte pierre Où tu la vis s'asseoir.
Tu mugissais tinsisousces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur Jours Hint:s déchirés, Atnsi le vent }<tait t'hume de tes ondes Sur ses pieds adorés.
Or, de )'o\tremit~ de la cottino de Tresserve au lac, du côté du Petit-Port, il y a plusieurs centaines de mètres, et le seul endroit du rivage où il y ait des roches profondes et où t'on puisse, étant a~sis, recevoir l'écume des eaux, c'est te cap Stint-fnno.cent. Ouvrons. d'~iOeur' le romitn de /?«;~<M/ à la page où Lamartine raconte la promenade qu'il fit au bord du tac avec Ju)ie (Charles), la veille de leur départ d'Aixles.Bains.
« Cette futaie de Saint-Innocent, dit it,est un cap qui s'av-toce au milieu des flots dans la partie ta p;us m~tancotique et la plus in habitable de la rive. Ette se termine !) quelques rochers de granit t.tvc'! par t'e~um~ quand le vent la soulève, secs et luisants quani te flot e« retombé. Nores M<"« tt!.<mes <&<tC<t« sur une ~f ces ''«'~f~ï tOHf~n~. Bn face,t'~hbaye de Hautecombe pyramtdait en noir devar.t nous, de l'autre cote du lac. Nous regardions une petite taeht btonehe qui brillaitau pied des terrasses sombres du monastère. C'était ta matsen du pécheur où ces Sots nous avaient jetés tous les deux pour nous réunir etsmettement par le hasard de cette rencontre.
Cela étant, quoi de plus naturel que Lamartine, en apprenant au mois de septembre tXt? que Mme Charles, mourante, ne pour-
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f:nt!)..stu~juin.)re~Aix.a)t ~tti pk~jr .ur~n.:i.i)')~ )'~))"<-e d'itV~~ti t\ttie~)t:t!t~toU'.d<H)(fA~e).H)td'tm'i~Htr<:iu~K!)~~n,)t'n'!)'~)t<r.t~p4Snnt!)nh.~e :td.iit{ncf)t )Min)t:itV'n.<tuca'.S.tj~! h)nH.e~teo~)eettnt<)~"dd)'itt.H.t tiu!)~< .\t.)i,j'<'n.ii(f«ttY<!un~.)t)' 'j\;ipr<:tm*'):)nsunc!ett!e~t!Lou.t.)e\ 1- ~<tCtaC.u-'):trd<icH~n.tt4i'qu)u't~ntf: m.tin6,ct)'u!) ))') tijuf~ittnett~~n dautte~pitrotud.: Vi~net,ntti~u'itt;t..t).f J Aix~vc.: L.'nurtiue~uanJiutcompo~~tt )'(). <<;< /.<tt'. C'est bien.tucitp S~iut-tono cent qui: jaillirent ces ~t~nce'iimniort-'tk'. Ht vom pourquoi la t))onunxntd')~vir< sera <'r)~ ia, pour te contenaire du Lac, en t~)7.
Famille de Malherba (LXVI, K)o;. Le poute François de Malherbe, Ecuyer, sieur de Digny, Gentilhommc ).t<: (aChambfi (t~tôsS), de la branche cadette de Missy, était fils ainé d'autre François et de Louise Le Vattoia.H épousa, en Provence. Madeleine de Coriohs, dunt il fut le troisième mari. Celle-ci, fille de Louis de Co~iotis, Président au Parlement de Provence, et d'Honorée d'E:cntis, était veuve en premières noces de Balthazar de Catin, seigneur de Saint-Savournin, et en deuxième mariage de Jean de Bourdon, seigneur de Boue.
Les auteurs consultés ne constatent qu'une attiance indirecte de la famille de Malherbe avec les Turgot. Dans la branche ainée du Bouillon, Jacques de Malherbe. Ecuyer, seigneur du Bouillon et d'Ecorcher-œuf. Lieutenant général et criminet au Bailliage et siège présidial de Caen, épousa, par ccntmt du 14 février ~80, .Marie Auger, laquelle était sœur de Madeleine, femme d'Antoine Turbot, Ecuyer, seigneur de Saint-Ctair. Restaudière, Lanteuil, Manneville, etc. (La Chenaye-Desbois, tomes t~ et tg).
MADEt..
J'ai dans ma bibliothèque les CF< ~<<~Mt de Malherbe éditées par Prosper Blanchemain en '877 (Librairie des Bibttophites. rue Saint-Honoré ~8) en tête desquelles il a mis d'assez longue notes hlographiques sur Matherbe j'y puise pour répondre à la question posée. FMnçM!. de Matherbe naquit à Caen, en t~ de Ffantoi- ateurde Digny, conseiller du roi au siège présidiat de Caen et de Louise L- V~toia, manëate 13 juillet )'i$4.