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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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o. 299 _`

Le prix des voitures stupidement détruite ce jour-la monte a plus de t~o.ooo t'r. Mais si ces voitures turent tes seules que l'un put trouver, il y en avait d'autres plus de deux cents, remisée:. sous la biMiotheque du Louvre, rue du Doyenne ou au parc Monceau. Ce fut parmi celles ta que, voyant incendier la berhne royale, le duc de Nemouts se hâta d'envoyer chercher la voiture que le roi fut si étonné de voir a la place de cette qu'il attendait.

Le gouvernement provisoire fut lèpre. mier à &e louer de ta uiscrétion involontaire de l'émeute. Hors Lamartine et 1. upont de Nemours, ses membres furent trop heureux de pouvoir, à leur tour, rouler carrosse. Deux cents voitures et trois cent cinquante chevaux furent un équipage qui suffit à l'austérité du nouveau régime. Pour leur seule part. les membres du gouvernement se tirent attribuer quarante et une voitures.

Le citoyen Ledru-Rollin avait, à son service, le ~o~/< t'a, coupé bas, le P/'<~< coupé de cérémonie, le Royal, ehar-à-bancs de promenade, la Marquise, calèche de ville, et le Pbénix, landau de campagne, tt avait dans ses écuries 3~ chevaux un piqueur à ses ordres, Millet, celui qui avait arrêté l'assassin Lecomte, à Font.<in''bteau dix cochers, aides-cochers et palefreniers. Sa puissance dura soixante-quinze jours te contrôle estima sa part dans les frais de ce service à 27,7~0 fr.

Et telle est la simple histoire du fiacre de Louis Philippe, qui n'est pas un fiacre mais une confortable voiture envoyée à point pour suppléer à t'ab~ence de la sienne, dont le peuple souverain s'amusait, avec une joie d'enfant terrible. A. B. X.

i

«

C'était un brougham tels étaient les « fiacres d'alors. A. L. L'âme de la femme au concile de M&con (T. G.. 38 LXVI, t ;8, 24.. Prière de corriger, colonne 24) en bas mutterem au lieu de muriclen posse au lieu de posce testament), au lieu de testamentis edoceat. au lieu de edo- cerat. Ajouter à la dernière ligne, après i hâte causa convicta, ce qui donne hcec 4 causM convicta quievit. a

300

A corriger, encore $~, au lieu dt 5~7.

Contrats de mariage signôf par le Koi avant la Révolution (LXV LXVI, 99. '9~~ Notre confrère H. F. m'ob. )fCte Uangeau et Saint-Simon. Je lui ac corde bien votontiers qu'il ait raison pour t'epoque de Louis XIV mais ses textes ne prouvent rien pour les règnes suivants. Louis XIV était un autocrate, le pré. micr des Jacobins », disait, je crois, le comte de Chambord et je sais que Gam. betta, très étatiste, l'admirait beaucoup Je ce chef; il créait, organisait sa Cour et son royaume comme bon lui plaçait. Mais ses successeurs, Louis XV surtout, furent des Princes très < constitutionnets », si j'ose dire, qui ne se risquaient pas souvent à faire montre d'autorité personnelle. Jf dut en être u<.s faveurs de Cour comme de la Légion J'honneur, qui n'est certes plus en tQt2 ce ou'eHe était un siècle auparavant, en t8t2. En l'an présent, si j'étais seutement dans l'armée capitaine d'habillement, avec 25 ans de services, je serais assuré de l'avoir à 'non tour Je rote. En t~t2. il m'aurait fallu, pour décrocher sûrement la décoration, emporter presque à -noi seul la redoute de Borodino. Les faveurs anciennes deviennent facilement des droits acquis et cela s'appliquerait même à la croix devenue aujourd'hui monnaie étecto. rale.

Quant à la réserve que fait notre confrère Bettechasse, je l'admets dans une certaine mesure. Je ne puis lui donner de preuves mathématiques. Je dirai simple. ment que t'MM-c a déjà, si je me souviens, traitécette question des honneurs de Cour, mais je n'ai pas tes volumes sous les yeux. Et j'ajouterai que, si ma thèse est établie pour la présentation, elle me parait devoir emporter le reste. Car, certainement le Roi ne devait pas signer le contrat de gens qui ne tui eussent pas été présentés dans tes règles. Toutefois, si, à la fin de l'Ancien Régime, la qualification de noblesse devait être authentique pour cette présentation. je ne sais si les titres indiqués dans les contrats par les notaires, un peu moins rigoristes sur ce iétail, devaient être scrupuleusement :xacts. ti eût été naturel que Louis XV! :ignât au contrat d'un Sévigné mais