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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 53322

Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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~Q~ < que je ne tiens pas sous ma main en ce moment, M.. H~ron de ViHcfmsenous itpprendqu'Tacite. ~M')')/~<XtH <4–Burrus avait perdu une main à la guerre, et qu'il étHir originaire de la Gaute, d'une vittc de Provence o') du Cum'at dint le nom ne me revient pas à ta mémoire.)) Il est donc un peu nôtre et mérite de figuret, a titre de lointain ancêtre, dans la ~a)ene des généraux mutilés a l'ennemi. H C.M. <! P. S. A-t-on pensé à François de 1 Lanoue dit 5n~ de Fer, t ;) -1592 ?

Clément Thoman (LXV, ~4~ 6~, 8~; LXVt, to;). L'arrestation du {{é<i néra) Ctément Thomas est racontée tout autong d'après Cattelain, qui tut chef de )a sûreté de la Commune, par Edmond LepeUetierdans son très intéressant ouvrage /Y<it<<w< <«/<! Ct)MM<"<< en /~y<, t. ,!l,p-4!3-

~j Cattelain chetntMit avec son ami, le dessinateur André Gill, entre les baraquements du boulevard de Clichy, à la techerche d'une boutique de pâtissier. Un hom ne barbe ~i grisonnante ntarchait à côt<< d'eux. Non loin se trouvait un groupe de gardes nationaux qui ïamttt'nt en MttMnt.

L'un d'eux se )<!Vt et vint à moi E<t-ee que vous n'êtes pas Clément ThomM? dit-il au vieillard.

:'J Oui, répondit t'ex-genér~.

'j Vous voyez le mouvement ète~-vou$ des nôtres ?

Mes enfants, j'ai donné ma dëmitsion, je ne veux plus me meter de rien J< ne suis ni pour vous ni eontx vous, vous me connais K: p')ur un vieux républicain de 48. Voilà comment fut arrèté Clément Thomas, que Gitt. matgré qu'it t'ait dessiné et malgré qu'il possédât de nombreuses pho. tographies de lui, n'avait pas reconnu. D't.B.

Thiers et G&mbett i un prôtandu M mot de Thiers sur les Alsaoiena (LXV, ))a). A quel incident fait on a!

tusion? Peut-être a celui-ci

Le ay octobre (870, à Tours, dans le ~t salon occupé par M. Crémieux. une disMssion s'éleva entre Thiers et Gambetta. On prévoyait l'issue fatale, la pette du territoire, Thiers aurait dit « Peuh, qu'est-ce que cela nous fait les atsaciens? l tts étaient allemands, ils le redeviendront; c'est le jeu de la guerre.

Ce propos est-il vraiscmbtabtc ? a-t-it été dënaturcPNMnmoins, M. Gatouye t'aurait tenu de Gambcttatt)i-n)eme. M. Gatouyc songeait a combattre Thiers, à t'ëpoque des menées pour la restauration monarchique, voulut se servir du propos recuei))i, disait il,de ta bouche de Gambetta. et il écrivit a cduici.qui~taitt'unde ses amis de jeunesse, pour en avoir la confirmation écrite.

Gambetta lui répondit par cette lettre Mon cher ami,

Je partage pleinement ton opinion sur la valeur patriotique et lesefforts libérateuis du chef de la bourgeoisie française mais je suis force de compter avec tes forces, les demiforces, tes quarts de forces qui constituent, elles, toutes la résultante du parallélogramme de la démocratie, dont je suis avant tout le serviteur indéfectible.

Ceci pour te dire que tu peux écrire ce que tu vaudras, « citer )e propos w si cela to ptatt mais, jusqu'à ce que le moment propice soit vem (non pour moi) mais pour l'intérêt politique de mon parti je te prie de ne pas donnermon nom Rien ne s'oppose a ce que « tu invoques le propos t, en te refusant à en faire eonna!tre)'ori~)ne.

Le moment viendra où nous pourrons tous raconter ce qui s'est pas<:< entre moi et tui, le :7 'jctobre t870, dans te salon que Crémieux occupait à Tours. Mais je te connais assez, et j'ai toujours eu trop de confiance en toi pour insister ptustonguement.

Je me résume. Le moment n'est pas encore venu il viendra, et, c~mme je pense que chez toi le patriotisme l'emportera toujou-s sur les prtf<fen~< politiques et même reli.gieuses, nous devrons ce jour-ta nous ententre.

Tout ceci n'est que pour toi, et je t'envoie mes meilleurs sentiments d'amitié.

L. G~MMrT*.

Ce vendredi, août t8~.

La lettre ne répétant pas le propos~ ne relatant pas les circonstances de l'incident. on en est réduit au sent témoi.gna~ de M. Galouye. En somme, la lettre de Gambetta'conttrtne que. le 27 octobre, à Tours, entre Gamhetta et Thiers, une discussion a éctaté de laquelle Gambetta a tiré cette conclusion que Thiers n'était pas aussi patriote qu'il eût dû t'être. D'ailleurs, cet incident eut une suite. Le t6 juin t8~. M. de Fourtou étant à la tribune, técapitutait t'œuvre de l'Assemblée nauonate. !t disait << Nous avons chassé de France les Prussiens. ? » Une voix tonna