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Titre : L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : Notes and queries français : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. / M. Carle de Rash, directeur...

Éditeur : B. Duprat (Paris)

Date d'édition : 1912-07-01

Contributeur : Read, Charles (1819-1898). Directeur de publication

Contributeur : Faucou, Lucien (1861-1894). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34413981v/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 01 juillet 1912

Description : 1912/07/01 (VOL66,N1333 = A48)-1912/12/31 (VOL66,N1350).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k734247

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-Z-94

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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.S/o/M <~ Victor Hugo qu'on voit à Rotne, une r<:pon.'e a la question posée Victor Hugo fut-il maire de Pitfia'ru

M. Pallez s'étonne qu'une page de CAof~ pM~où Victor Hugo )ui-m'!n)e conte l'aven.ture m'ait échappé. Je n'oubhais point cette page. Je voulais constater que la nomination de maire avait été publiée par les journaux. C'est au huitième arrondissement celui de lu place Royale que le poète avait été élu.

Ne refusez pas notre brevet, lui di~it Arago.

Je le prends pour )M autographes, ré. pondait Hugo.

Oui, gardez-le, pour que vous puissiez dire que, du jour au lendemain, vous avez été pair et maire.

Lamartine. plus grave, entratnait son ami dans l'embrasure d'une croi;ee(~t'Hôte) de Ville), et disait

Ce n'est pas une ntaifie que je vou* drais pour vous, c'est un ministère. Victor Hugo, ministre de l'instruction publique de la République 1

Peut-e~e, avant Lamartine, Victor Hugoy avait-il songé. C.

Ru& Madame. D'après le ~w~ c<W!M)c~<de Btégnydu Pradel (i) ilyavait à Paris, en t~a, une rue Madame que ni La Tynna, ni les frères Lazare ne citent dans leurs dictionnaires. Ce n'est certainement pas la rue Madame actuelle qui ne fut ouverte que dans les dernières années du règne de Louis XVI.

S'il n'y a pas une erreur de l'auteur du Livre MMtMo~<, peut-on dire où était située cette rue ? i' H. M. Parc de NeuiUy. Un tableau de Th.Gudin (1802-1879) à Chantilly (collection de Mgr le due d'Aumale n" 472) représente une vue du pont suspendu du parc de Neuitty Ce pont parait jeté sur un vaste étang entre une ite boisée et la rive. Cet étang existe-t-it encore ? Où était-it situé f HuMASUs. Le mont Pagnotte. Je lis dans !a Revue des Doux-Mondes du tor Décembre t88t, dans les Bouda dlplomatigaea du duc de Broglie

Le roi (Louis XV] finit par loisser tomber cette parote indinerente e Noua n'avons qu'une chose à faire, c'est de rester sur le ()~ Tome f' page to'Mit. Fournier.

,8?

Et Armand Marrast, en riant

,88– mont Pagnotto t. A quoi le tMrquif de Sou. vr<! reptttju.t vivement Votre Majtitt~ aut-.<)r(od, car ses ancêtre), n'y ont Mt bâti~.

Le mot Je Louis XV est caractéristique par sa trivialité même.. page <)Q6. Que signifie le mot trivial mont ~w/ Je serais très reconnaissant à t'ai. f mable intertnédiairiste qui voudrait bien me l'expliquer. PITON. Hélène Amarioa VespuooL Cette descendante d'Americ Vespuce, issue de la meilleure noblesse florentine et élevée à la Cour de Toscane, poussée par un esprit romanesque et aventureux, quitta Florence en 1834, voyagea en Europe et se rendit à Paris vers la fin de l'année 183b,

D'une beauté, d'un esprit et d'une noblesse dans sa tenue extraordinaires, elle reçut des marques spéciales de protectton de la Cour française, notamment de la Reine Marie.Amétie. Elle devint aussi l'amie et la protégée de la comtesse Ap. ponyi, femme de l'ambassadeur d'Autriche. Mais le bruit ayant couru d'une folle passion du duc d'Orléans pour la merveilleuse italienne, elle fut priée, parait-il, en haut lieu, de quitter Paris. Si cela est arrivé, on a dû toutefois y mettre des formes, car elle obtint de chaudes lettres de patronage de la Reine, une recommandation pour le corps consulaire français et une autorisation du Ministre de la Marine de prendre passage à bord d'un navire de l'Etat.

Elle débarqua à Rio de Janeiro te t6 mai i838; en automne, elle était à New-York. La presse et le public lui firent un accueil enthousiaste. Elle adressa au Congrès une pétition pour être adoptée par l'Union comme petite-fille de celui qui avait donné son nom à l'Amérique. Des meetings se tinrent, où elle eut des -partisans et des détracteurs. Certains Btats, tels que t'Ohio et le Missouri,lui votèrent des dons nationaux le sénateur Walker, James Buchanan et autres notabilités se rangèrent parmi ses partisans. Mais le Congrès repoussa le projet de loi, tout en ouvrant des listes particulières de souscriptions en faveur de Mademoiselle Veepucci.

Alors, par une lettre très digne, elle refusa te produit de ces souscriptions qui