On a en outre f<~ ~p «.F-< <H)f(f~ ~emïf ~p eyoôpog ~TVMf Hes.
3. *ma,n. (!r. xot~~y-, ~~<ty-, Jtt~~f- etc. Le letto-slave (AoMt<~t-, akmen-) a perdu ~M~M et ne connaît plus que -<MO,M. C'est l'inverse qui a eu lieu soit pour le germanique soit pour le sanskrit
4. -ta~. Noms de parenté~ et noms d'agent (v. p. 2~2). 5. -watt*. C'est le suffixe qu'il faut admettre dans devdr, ace. <~twaîM. En effet le gr. ~K~p montre dans la racine; or celle-ci ne peut être <~<«p (v. p. 182). Sur ce mot cf. Brugman Stud. JX 391.
6. ~8. Nous avons vu p. 201 skr. M<y-<M(-<tM!). Les thèmes en '<~ formant le second terme d'un composé renoncent à l'c~: skr. S!<-)M«M<M-<MM, gr. t~~Mf~g, ey-oct~?, lat. <~eMer. Les adjectifs comme gr. ~«~g, skr. <~t~ se comportent de même. Le sanskrit ne possède rien d'équivalent à la règle grecque qui veut que !t«t~ <M~p-, yc!6t< etc., donnent en composition <u-)fctop-, cf-~op-, xot~o-op-, phénomène qui est l'inverse de celui que nous venons de voir pour les thèmes en -as. La règle des neutres en -~c:, analogue en apparence, a peut-être une signification assez diSerentc. Il est évident tout d'abord que :Mj~t<)! n'a pu produire c-a~oy- qu'à une époque où 1'~ du premier mot existait encore, si ce n'est au nominati~accnsatif, du moins aux cas obliques s. Mais l'association de ces deux formes pourrait être même tout à fait primitive. Si l'on admet que les neutres en question sont des thèmes en -NM!j,M et non en -<M<~M question qui ne peut guère être tranchée -~n~tcf- nous représente le propre masculin de ~n~Mc. Le sanskrit est favorable à cette hypothèse <~M-~MMaM-<MM ~MM<! == «-oy-M ~~M~.
1. La quantité de l'a varie en zend, comme dans tant d'antres cas. On ne saurait y attacher grande importance. En sanskrit aryaman fait aryaNM~oHN, mais c'est un composé de la rac. man.
3. Sur l'anomalie de ces noms en gothique où ila présentent a dans le sufBxe (fadar etc.), anomalie que ne partagent point les antres dialectes germaniques, v. Paul Beitr. IV 418 seq.
3. Après que l'M se fut évanoui on forma des composés comme ~<nfo~«e au lieu de ~eeroftmf.
4. Le rapport de <t~c et ~~oo-xecoee n'a évidemment rien de commun avec celui de ~ftK et ~~jMM', -xe~mc étant une simple contraction