LE VIEUX MORPION.
Sur les débris d'une motte princière, Dont !à~érote emportait tes !ambeaux, Un vieux morpion quatre fois centenaire, A ses enfants, disait ces derniers mots – Oui, sans regret, je puis quitter la vie Un eut royal est à vous, mes enfants Car Dieu rêveur, dans sa philosophie "Veut réunir !es petits et !es grands. ) ibis) J'ai vu le jour sur le vit d'un sauvage Qui du sotei! se disait rejeton.
Je suis venu de ces lointains rivages Sur les roustons de Christophe Colomb. Quand H donnait un monde à sa patrie, "Je la dotais de nouveaux habitants. Car Dieu rêveur, dans sa philosophie, ~t.\ Veut réunir les petits et les grands. ) Après bientôt plus de trois cents années, J'ai vu les culs' de bien des potentats J'ai vu bander des pines couronnées. J'ai vu des cons, d'où sortent des Etats. Plus d'un Saint-Père, en sa couine bénie, Sentit grouiller mes arpions triomphants Car Dieu réveur, dans sa philosophie, <. < ve"U,, "r, a.P hl',l" i t(o~ Veut réunir les, petits et et tes grands. ,s. )
A Friediand, au Saint-Gothard, à Rome, Partout, ennn, ou te poussa le sort,
J'ai parcouru le membre du Grand Homme, Mais i! n'est plus, moi seul je vis encor 1