Puis, vous avez foutu le vit à mon derrière
Oui, Sire, sans respect pour ma race guerrière,
Pour le cul de Poitiers, puceau depuis mille ans, Tandis que, revenant le con tout plein de sang,
Elle priait tout bas le Dieu du pucelage
De rendre votre vit moins dur en son passage, Vous, François de Valois, te soir du même jour, Vous avez, sansjpitip, sans pudeur, sans amour, Des joies du cul, du con, usant toute la gamme, Dans votre lit, tombeau de ta vertu des femmes, Flétri, déshonoré, déculotté, baisé
Moi, moi, de Sàmt-Valtier, vicomte de Brezé
En m'enculant ainsi d'une manière Infâme,
Vous preniez donc mon cul pour le con d'une femme ? Vous, roi François, sacré chevalier par Bayard, Jeune homme, il vous faut donc des fesses de vieillard ? Et les poils de mon cul, déjà blanchis par t'âge, N'ont pu me préserver de ce cruel outrage
0 vous, Dieu des bordels, qu'avez-vous dit, là-bas, Lorsque vous' avez vu, dans te pli de deux draps, 9 S'enfoncer raide et dure, et rougeâtre et sanglante, Une pmerdyàte en mes fesses saignantes ?
Sure, ~n enfonçant trop, vous avez mal agi.
Que du sang d'une enfant votre vît fût rougi,
Cela peut s'expliquer on comprend qu'une femme Ait pu se laisser. prendre à votre piège infâme,
Mais que vous ayez pris et le père et l'enfant
Que vous ayez flétri, sous votre vît bandant,
Le~con d'une comtesse et le cul d'un vicomte, C'est une chose impie et dont vous rendrez compte, Quand vôtre braquemart, de fatigue brisé,
Sur vos roustOns vidés pendra inerte, usé,
Sire, je ne viens pas insulter votre pine
Quand on est ëhculé ton fait mauvaise mine