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Titre : Collection complète des Oeuvres de Monsieur de Voltaire , nouvelle édition augmentée de ses dernières pièces de théâtre & enrichie de 61 figures en taille-douce. Tome treizième

Auteur : Voltaire (1694-1778). Auteur du texte

Éditeur : aux dépens de la Compagnie (Amsterdam)

Date d'édition : 1764

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb373471777

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37302086w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 394 p. ; in-12

Format : Nombre total de vues : 394

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k721485

Source : Bibliothèque nationale de France, Rés. Z. Beuchot-26

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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en quelque façon retomber en enfance. La Comédie des A jeux Chimériques fut totalement oubliée en naiffant mais les trois Epitres cauférent une nouvelle guerre fur le Parnafle. Un nomme l'Abbé Gyot Desfontaines, qui faifoit une efpéce de Gazette lit- téraire, homme extrêmement cauftique, bon Lfttérateurj mais manquant de finefle & de goût fit un éloge outré de ces nouvelles Satyres, & aggrava encore ïe coup que Rouf* feau vouloit porter aux Auteurs Modernes. On répondit par plufieurs Pièces à Rouiïeau Se à ce Desfontaînes mais ce qu'il y eut de plus vif & de plus emporté ce furent deux Piéces atribuces à Mr. de Voltaire l'une eft une Ode jhr P Ingratitude & l'autre, une efpéce d'Allégorie & de Conte: je ne fais fi effectivement le Conte eft de Mr. de Voltaire mais pour lOde elle eft fûrement de fa façon Se il eft diiicile de l'y méconnoître. Il eft trillequ'un Iiomme comme Mr. de Voltaire qui jufques-là avoit eu la gloire de ne fe jamais fervir de fon talent pour accabler fes ennemis, eut voulu perdre cette gloire,

Il eft vrai qu'il fe croïoit outragé par Rouf- feau Se encore plus par ce Desfontaines qui lui avoit en éfet les dernières obligations car on difoit que Desfontaines ne lui devoit pas moins que la vie. Il eft certain qu'il l'avoit retiré de Biiïare cet homme avoit été