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Titre : Collection complète des Oeuvres de Monsieur de Voltaire , nouvelle édition augmentée de ses dernières pièces de théâtre & enrichie de 61 figures en taille-douce. Tome treizième

Auteur : Voltaire (1694-1778). Auteur du texte

Éditeur : aux dépens de la Compagnie (Amsterdam)

Date d'édition : 1764

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb373471777

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37302086w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 394 p. ; in-12

Format : Nombre total de vues : 394

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k721485

Source : Bibliothèque nationale de France, Rés. Z. Beuchot-26

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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filiation &Ie cœur font d'accord les oTnemeRS ifpenfez avec la fageSe d'un.âge mûr & cela dans un fujet manié par les deux plus grands maîtres. Athlète encore fi jeune lutter contre Sophocle & contre Corneille Pour efpérer de pouvoir les vaincre il failoit Hécefïàirement commencer par vous faifîr de leurs propres armes c'eft-à-dire., confefver leurs véritables fceautez j mais avec le fecret que vous aviez de faire qu'on né pût les diftinguer de celles qui îi'appartenoient qu'à vous.

Parierai-je des autres Pièces que Thalie ou Melpoméne vous ont diftées ? Mais que pourvois-je en dire qui valût ces acclamations flatteufes^ dont la Scène retentit encore tous les jours ? Avouez-le car les hommes à qui Pon ne difpute point leur ftipériorité, gagnent à convenir de leurs foxbleflès avouez que ces bruïantes faillies, quifont Porgane de la multitude & qu'on ne peut ni commander, ni réprimer, PeraporteHt de beaucoup far la froide admiration d'un lecteur tranquille dans fon cabinet. Àuflî étoit-il à craindre qu'un Xhéâtre;; qui tenoijc dé vous le pouvoir d'enchanter ne produisît fur vous-même un effet pareil en vous réfervant tout entier pour lui feul & Vous faifant oublier qu'il feroit beau à l'émule. ûeSophocIe d'être le rival d'Homère. On auïoit été privé de. cette fameufeHenriade, que fefrance a regardée comme Punique Poème B dont