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Notice complète:

Titre : Fables de La Fontaine / avec les dessins de Gustave Doré

Auteur : La Fontaine, Jean de (1621-1695). Auteur du texte

Auteur : Géruzez, Eugène (1799-1865). Auteur du texte

Éditeur : L. Hachette (Paris)

Date d'édition : 1868

Contributeur : Doré, Gustave (1832-1883). Illustrateur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30716029z

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb120083695

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : LX-864 p. : portrait de La Fontaine et pl. gravés ; in-fol.

Format : Nombre total de vues : 954

Description : [Fables (français)]

Description : Comprend : Notice sur Jean de la Fontaine

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : BvdPrs001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k720466

Source : Bibliothèque nationale de France, Rés. Ye-170

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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« quoi! dit-il, cette canaille

Se moque impunément de moi ? a

Je vais, je viens, je me travaille,

J'imagine cent tours le rustre, en paix chez soi, t, Vous fait argent de tout, convertit en monnoie Ses chapons, sa poulaille; il en a même au croc; Et moi, maître passé, quand j'attrape un vieux. coq;, Je suis au comble de la joje!, s .•

Pourquoi sire Jupin m'a-t-il donc appelé

Au métier de renard? Je jure les puissances

De l'Olympe et du Styx, il en sera parlé. »

Roulant en son cœur ces vengeances,

Il choisit une nuit libérale en pavots

Chacun étoit plongé dans un profond repos;

Le maître du logis, les valets, le Chien même, Poules, poulets, chapons, tout dormoit. Le Fermier, Laissant ouvert son poulailler,

Commit une sottise extrême.

Le voleur tourne tant qu'il entre au lieu guetté, Le dépeuple, remplit de meurtres la cité.

Les marques de sa cruauté

Parurent avec l'aube on vit un étalage

De corps sanglants et de carnage.

Peu s'en fallut que le Soleil

Ne rebroussât d'horreur vers le manoir liquide. Tel, et d'un spectacle pareil,

Apollon irrité contre le fier Atride

Joncha son camp de morts on vit presque détruit