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Titre : Fables de La Fontaine / avec les dessins de Gustave Doré

Auteur : La Fontaine, Jean de (1621-1695). Auteur du texte

Auteur : Géruzez, Eugène (1799-1865). Auteur du texte

Éditeur : L. Hachette (Paris)

Date d'édition : 1868

Contributeur : Doré, Gustave (1832-1883). Illustrateur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30716029z

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb120083695

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : LX-864 p. : portrait de La Fontaine et pl. gravés ; in-fol.

Format : Nombre total de vues : 954

Description : [Fables (français)]

Description : Comprend : Notice sur Jean de la Fontaine

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : BvdPrs001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k720466

Source : Bibliothèque nationale de France, Rés. Ye-170

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Ou plutôt il la tient captive 2

Nous attachant à des récits

Qui mènent à son gré les cœurs et les esprits. O vous qui l'imitez, Olympe, si ma muse

A quelquefois pris place à la table des Dieux, Sur ses dons aujourd'hui daignez porter les yeux; Favorisez les jeux où mon esprit s'amuse.

Le temps, qui détruit tout, respectant votre appui, Me laissera franchir les ans dans cet ouvrage Tout auteur qui voudra vivre encore après lui Doit s'acquérir votre suffrage.

C'est de vous que mes vers attendent tout leur prix Il n'est beauté dans nos écrits

Dont vous ne connoissiez jusques aux moindres traces. Eli qui connoît que vous les beautés et les grâces ? Paroles et regards, tout est charme dans vous. Ma muse, en un sujet si doux,

Voudroit s'étendre davantage

Mais il faut réserver à d'autres cet emploi

Et d'un plus grand maître que moi

Votre louange est le partage.

Olympe, c'est assez qu'à mon dernier ouvrage Votre nom serve un jour de rempart et d'abri Protégez désormais le livre favori

Par qui j'ose espérer une seconde vie;

Sous vos seuls auspices ces vers

Seront jugés, malgré l'envie,

Dio-nes des veux de l'Univers.

t'1