ÉPILOGUE.
Bornons ici cette carrière
Les longs ouvrages me font peur.
Loin d'épuiser une matière,
On n'en doit prendre que la fleur.
Il s'en va temps que je reprenne
Un peu de forces et d'haleine
Pour fournir à d'autres projets.
Amour, ce tyran de ma vie,
Veut que je change de sujets
Il faut contenter son envie.
Retournons à Psyché. Damon, vous m'exhorter A peindre ses malheurs et ses félicités
J'y consens peut-être ma veine
En sa faveur s'échauffera.
Heureux si ce travail est la dernière peine Que son époux me causera