Nomme-t-on pas aussi mouches les parasites ? a
Cessez donc de tenir un langage si vain
N'ayez plus ces hautes pensées.
Les mouches de cour sont chassées;
Les mouchards sont pendus et vous mourrez de faim, De froid, de langueur, de misère,
Quand Phébus régnera sur un autre hémisphère. Alors je jouirai du fruit de mes travaux
Je n'irai, par monts ni par vaux,
M'exposer au vent, à la pluie
Je vivrai sans mélancolie
Le soin que j'aurai pris de soin m'exemptera.
Je vous enseignerai par là
Ce que c'est qu'une fausse ou véritable gloire. Adieu; je perds le temps laissez-moi travailler Ni mon grenier, ni mon armoire,
Ne se remplit à habiller. »