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que les femmes grecques trouvaient en Grèce dans les Sanctuaires réservés qu'Orphée, avait institués pour elles' et que, peut-être, les femmes chrétiennes possédaient dans la Primitive Eglise; car, pendant un certain temps, en Egypte et en Ethiopie, elles ont eu leur Prêtrise appropriée. | ••
̃ Le Mystère du Nom du Père semble autoriser une double Initiation, l'une réservée à la Faculté masculine,' l'autre à la Faculté féminine, 1 ul à la
Dansée Mystère, on peut entrevoir que- si le Principe Masculin exerce son Autorité et le déploiement de ses Forces cosmogoniques' sur l'Éssence des Êtres, le Principe Féminin dans l'Univers déploie son Autorité et révèle ses Puissances à travers leur Substance organique. t
L'Essence des Êtres relève d'Iqd, la Faculté Mâle d'Iod-Hé- ̃ Vau-Hé; mais leur Existence et leur Subsistance, leur'transformation et leur conservation relèvent de Hé-Vau-Hê, Faculié Féminine, véritable Epouse du Père que nous nommons Nature, ̃ •
L'Amour, qui les unit à jamais, a été, par toutes les anciennes Cosmogonies, reconnu comme le Principe et la Fin de leur indissoluble Unité,
Sanchoniaton Moïse, Orphée, sont d'accord sur ce point comm? sur bien d'autres.
La Nature unie à Dieu par la Force, par le lien mutuel de >s TÂmour, engendre de Rien Tout, et, sans ce lien suprême qui est l'autorisation de l'Union des Sexes et du Marjage, cet engendremént qui constitue l'Univers tomberait à Rien.
Dans le Ternaire chrétien, l'Esprit divin, le Saint-Esprit, est i'Àmour même, le Souffle de Vie, en ce. qui concerne l'animation psycurgique ou-vitale des Êtres,' la Vérité, la Sagessç, en ce qui regarde leur anirhatïon intellectuelle, leur résurrection spirituelle, dans l'Homme et dans les hiérarchies d'Êtres qui le relient à !a Divinité,
Son vrai Nom se trouve dans la Cosmogonie commune aux trois Cultes.
Dans la pensée de Moïse, le Saint-Esprit n'est pas une abstraction (les Prêtres Egyptiens, ses maîtres, ne perdaient l '̃