Voici
Je retrouve d'abord en date de fin 1884 « Lu les Poètes Maudits comment diable se fait-il que Paul Verlaine ait si peu, presque rien à dire sur Arthur Rimbaud et à citer de lui ? Voir Verlaine tâchez d'obtenir quelques indices qui serviraient de point de départ à des recherches sérieuses. »
A quelques jours de distance une autre notule
« Allé, par un temps abominable et quelle boue neigeuse, chez P. V. c'est là-bas, là-bas à la Bastille, rue Moreau, cour Saint-Français, 6, hôtel du Midi Verlaine est couché, malade, et sa mère le soigne, le gourmande la bonne vieille Comme j'ai un gros rhume, elle me force à avaler d'énormes morceaux de sucre candi. J'en ai plein la bouche, je ne puis plus parler, j'étrangle, je manque d'étouffer mais, en partant, j'ai les notes qu'il me faut. » Qu'on m'excuse de citer ces notes un peu personnelles mais elles sont le point de départ de mes efforts, qui, on va le voir, n'ont pas été vains.
Puis toute l'année de 1885 sans rien, rien trouver! Et alors en mai 1886, une découverte inespérée, ma foi, presque incroyable celle de