Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 10 à 10 sur 180

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Reliquaire, poésies / Arthur Rimbaud ; préface de Rodolphe Darzens

Auteur : Rimbaud, Arthur (1854-1891). Auteur du texte

Éditeur : L. Genonceaux (Paris)

Date d'édition : 1891

Contributeur : Darzens, Rodolphe (1865-1938). Préfacier

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb325726034

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12325313r

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (XXVIII-152 p.) ; in-16

Format : Nombre total de vues : 180

Description : [Poésies (français)]

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k71174g

Source : Bibliothèque nationale de France, Rés. p-Ye-846

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 93%.


Voici

Je retrouve d'abord en date de fin 1884 « Lu les Poètes Maudits comment diable se fait-il que Paul Verlaine ait si peu, presque rien à dire sur Arthur Rimbaud et à citer de lui ? Voir Verlaine tâchez d'obtenir quelques indices qui serviraient de point de départ à des recherches sérieuses. »

A quelques jours de distance une autre notule

« Allé, par un temps abominable et quelle boue neigeuse, chez P. V. c'est là-bas, là-bas à la Bastille, rue Moreau, cour Saint-Français, 6, hôtel du Midi Verlaine est couché, malade, et sa mère le soigne, le gourmande la bonne vieille Comme j'ai un gros rhume, elle me force à avaler d'énormes morceaux de sucre candi. J'en ai plein la bouche, je ne puis plus parler, j'étrangle, je manque d'étouffer mais, en partant, j'ai les notes qu'il me faut. » Qu'on m'excuse de citer ces notes un peu personnelles mais elles sont le point de départ de mes efforts, qui, on va le voir, n'ont pas été vains.

Puis toute l'année de 1885 sans rien, rien trouver! Et alors en mai 1886, une découverte inespérée, ma foi, presque incroyable celle de