· LA DERRIÈRE FÊTE CALAME
Pour une bonne fois séparons-nous,
Très chers messieurs et si belles mesdames.
Assez comme cela d'epithaiames,
Et puis là, nos plaisirs furent trop doux.
Nul remords, nul regret vrai, nul désastre:
C'est effrayant ce que nous nous sentons
D'affinités avecquc les moutons Enrubannes du pire poétastre.
Séparons-nous, je vous le dis encore.
0 que nos cœurs qui furent trop bêlants,
Dès cejourd'hui réclament, trop hurlants,
L'embarquement pour Sodome et Gomorrhc