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SOLEIL ËT'Cffifi*
Le âoïeil, le foyer dé tendresse et de vie,
Verse l'amour brûlant à la terre ravie,
Et, quand on est couché sur la1 vallée, on sent.
Que ltf terre est nubile e*t débrorde de sang Que son immense sein, soulevé par une âme,. Est d'amour comme dieu, de chair comme la femmeEt qu'il renferme, gros dé sève et dé rayons, Le grand fourmillement de tous les embryons t Et tout croit, et tout monte 3'
0 Vénus, ô Déesse g'
Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l?écorce des rame&ux Et dans les nénufars baisaient la Nymphe blonde! le regrette les temps où la sève dti monde, 7/ i