Ciel! Ampur Liberté Quel rêve, ô pauvre Follet t~ Tu te fondais à lui comme une neige au feu. J Tes grandes visions étranglaient ta parole Un Infini terrible effara ton œii bien
III
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Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles
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Tu viens chercher, là -nuit, les fleurs que tu cueillis? Ÿ Et qu'il' a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles, La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys.