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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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lui euuiia un rôle dana sa pastorale les Peines « les Plaisirs de l'amour. Quand Lully fui j»mou à &'emparer de l'Opéra au détriment de Cambert et de l'abbé Perrin, il la conserva dans sa troupe aux appointements annuels de 1,200 livres. Elle se rtUra en W84, après avoir crée d'une façon admirable, dlt-un, le rôle d'OHane dana Amadit de Gaule; elle avait établi auparavant, avec un véritable talent, ceux d'Io dans Isis, de Proserplne dans l'opéra de ce nom, d'Èglé dan» Thésée, de Sangaride dans Aty$, de Philonoédans £eJWi-op/ioft,et d'Andromède dan» Ptrtie. L'auteur anonyme de l'Mtolre de VA. eadémie royale do mutique publiée par le Constitutionnel dit de Marie Aubry « C'étall tnwde» bonnes actrices qui aient paru aur ce tUéâtre. Elle quitta l'Opéra en lest, après avoir joué au mieux le rôle d'Oriane. Ce ne fut point l'âge qui lui lit quitter sa profession-, mais elle était devenue d'uue taille ci prodigieuse qu'elle ne pouvait marcher et qu'elle paraissait toute rude. Elle était petite, la peau blanche et les cheveux noirs; cite mourut yen 1704. » Amie mUmede Mue Brlgogne, Marie Aubry se trouva mêlée, comme celle-ci, au procès fameux que Inlly intenta à Gukhard, en l'accasant d'avoir voulu l'empoisonner elle ae fut pas plus que sa compagne ménagée par Cuichard, qui, dans les facturas qu'il publia à celle occasion, en fit l'ob.jet des Imputations les plus outrageantes et que l'on peut croire les plus justlfiéo».

AL'ttRVËT (Xavier), écrivain français, à Epernay (Marne) eu 1827, s'est fait remarquer par son goût pour la musique. Dans un volume de critique Intitulé Ut J"setlwl"s «««<*««* (Pari», librairie nouvelle, J8co, in-lî), M. Aubryet a consacré quelques chapitres à divers musiciens Moaarl, »oW,lieu, HéroM, Rossi.,1, Oitar, Oonhetti, Weber, Adam. Les remarques de I écrivain au s,,j(!t de:ces artistes, présentées peut-être d'un ton un peu doctoral, que ne justilie point la faiblesse ou plutôt l'absence de ses connaissances musicales, n'en sont pas moins celles d'un homme de gontet d'un esprit délicat ACDICUON (Heswi,'), archiprétre rie Lambégère, est l'auteur d'un recueil intéressant publié sous ce titre «ecuells deXoëls choisis aur les airs lu plu, agréables, les plus con- nu H Us plus en vogue dans la province de Biarn (Bagnèn», Dossun, in-32 de 96 p.). •AUDlFFMT^i.m.UïMBmJl'i»». Jeak-IUiwtk). Une erreur a été commise au sujet de cet écrivain. Ce n'estpoint paarlMIma. naeh des spectacles publié par Barba (de 1822 a 1838) qu'il fut le collaborateur de Ragucncau mais puur l'Annuaire dramatique publié par

«m« cavanagh de 1805 à I82ï. Il prit une part Importante & la rédaction des deux premiers vo. lûmes de ce recueil anonyme (1805 et 1806) et contribua aussi à celle de quelques-uns des oui.vant». En 18«9, il rédigea, seul, un Almanaeh des Spectacles dont il ne parut que cette année (Paris, Collin, in-18).

AUOINOT (Nicoim-médar»). Cet artiste, on le sait, a fait représenter sous son nom une comédie a ariettes le Tonnelier, dont fi a toujours élé censé avoir écrit les paroles et la mu.sique. Fort intilnué de ce fait, n'ayant pu découvrir qu'Audlnot eût jamais été réellement musicien, j'avaia longtemps cherché quel avait pu être sou collotwrateur anonyme, lorsque ie trouvai dan» l'Ulstoireanecdotique du théâtre « de la littérature (t. I, p. 373) de Charles Mariée, son contemporain, le petit récit suivant Le directeur de l'Ambigu -Comique vient de mourir. Il était fils du fameux Audinot fondateur de ce théâtre, et qui, étant acteur à ropéra-Comique, y donna le Tonnelier. Le moyen qu'il a pris pour produire cet ouvrage, n'étant pas assez musicien pour en faire la par. tulon, fut tres-original. Il invita tour à tour à dîner un nombre de compositeurs égal à celui des morceaux de chant qu'il avait placés dans sa pièce, et au dessert, sans parattre y attacher plus d'importance qu'à un amusement, Il de.Manda à chacun de mettre en musique les vem qu'il lui avait secrètement destinés. De cette façon, IVuvre se trouva complète. On la représenta en septembre 170 J, tout uniment sous le nom d'Aurtinot, sans que les collaborateurs «oo«fassent à revendiquer un travail que leur amitié traitait volontiers de pure bagatelle »

Le fait révélé ici par Charles Maurice n'a rien qj» de vraisemblable, elle mystère de la compe- -il.on du Tonnelier pourrait bien être éclairci par ces lignes.

Toutefois, on peut croire qu'Audinot, saM être capable d'écrire une partition d'opéra, était répondant un peu musicien, et le poitt recueU annuel intitule les drames de Polynmte a donné, dans son volume de 1785, quatre cbansons dont la musique est inscrite sous son nom. La tille de cet artiste, chanteuse et claveciniste distinguée, se fit entendre à la cour dès ses plus jeune; aimées, et lit parlle du personncl de l'Opéra.

AUDLEY (M" A.),<torivainmuskal,alnséré >liin< l,« journal te Français, vers tsoo, une sérit- d'ailiclM sur g,!me de llellmi, et publié les deux ouvrages suivants f /.ouis fmi /J«c tlioven, sa vie et sos œuvres, d'après les Plus récent* documents (Paris, Didier, 1867, in-n)-