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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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S" Morceau* pour harmonium [ Prière et Berceuse, op. 27; Cantonetta, op. M; Fughetta, ,op. 29 scherzo, op. 30} Aspiration religieuse op. ai) Villageoise, op. 32 Air, Gavotte et Menuet de J.-S, Bach, transcrits •, Allegro, Air et Finale de Haendel, transcrits ¡ chœur et Rondeau de Phaélon, de Lully, transcrits], Paris, Schott 10» Peux Morceaux pour harmonium ( Recueillement Valse), là., Id. H- Plusieurs duos pour piano et harmonium; 12° Morceaux pour piano seul Cansonetta; Idylle; Scheno-valse Pauline polka; Mazurka; Air d'une cantate de Jean-Sébastien Bach, transcrit, etc., Paris.Schottj enfin, no assez grand nombre de morceaux de dlvera genres, pourchantou pour différents instrumenta. M. Guilmant a écrit aussi, sur un poème de M. Charles Barthélémy, un oratorio-symphonie en deux parUes, Geneviève de Paris, qui n'a pas encore été exécuté,

GUIMARÂES (José-RiBEmo), littérateur portugais, naquit à Liaboaae le 2 octobre 1818, Ayant achevé ses études de droit en 1844 à l'Université de Cotmbre, Il se proposa d'entrer dans la magistrature. Toutefois, ses opinions politiques très-libérales, les troubles qui éclatèrent bientôt et des difficultés de toute sorte vinrent retarder son entrée dans la carrière. Ce n'est que vers la fin de l'année 1846 qu'il se vit nommer joue {Mi de dircito) & Mertola. L'intervention étrangère mit fin à ses travaux officiels, et depuis lors jusqu'en 1854 il refusa d'accepter les places que lui offrit le gouvernement, parce qu'il ne partageait pas ses vues. En 1854 il entre comme primeiro o/`~lcfad Il la BtbMothèqM nationale de Lisbonne, charge qu'il oeccupe encore au moment où cette notice est écrite (Décembre 187$). Le docteur Ooimarâes a droit à une place dans ce livre à cause des nombreux travaux de littérature musicale qu'il a publiés dans les meilleurs journaux de Lisbonne, notamment dans le Jornal do Commercto. Ses travaux dans la rédaction de ce journal si impor- tant datent de 1854, mais il avait déjà travaillé auparavant dans le Patrlota (1852). C'est lui qui a éveillé le goût des études historiques sur la musique, marchant d'accord avec un autre amateur aussi distingué, M. Joaqulm José Marques, dont je parierai plus tard. Il est impossible de dresser Id la liste complète des écrits de M. Guimarâes, et nous citerons seulement tes plus importants j d'abord une excellente, biographie de Marcos Antonio Portugal (l), connu (i)!le*Ut»t« dédire que c'est M. Francisco lonoeendo da Sll»a, le «*»»al bibliographe, qui a donne te pirater I ooe bonne biographie d* Marco» Portugal. que Mil 1 en Oit e>t Incomplet et pariob toeMct. <

sous le nom de Portogitllofl'oy. ce nom), une notice inédite sur 80n frère Simao Portugal, une Uistoria do Theatro do Batrro Alto l'on trouve des renseignements utiles sur l'histoire tic l'Opéra en Portugal, des notes inédites très-curieuses sur Angeltca Catalan!, sur Mercailante, et sur une foule de musiciens portugais dès dixhuitième et dix-neuvième siècles. En 1873, le D' Guimarftcs tlt paraître à Lisbonne une excellente biographie de la célèbre Cflnlalrice M"» Todi, qui malheureusement n'a pas été appréciée selon son mérite en Portugal; l'auteur avait généreusement abandonné ses droits et le produit de la vente de l'ouvrage en favenr des descendante de l'illustre cantatrice qui vivent encore à Lisbonne. M. E. David a rendu hommage à cet excellent travail dans la vue et Oaselte mvsieale (1875). Dernièrement, le docteur Gulmarâes a fait paraître dans le Jornal do Commrdo des lUemorias para a hlstorla dos theatros de Lisboa, qui sont d'une grande valeur et qui ren. ferment de riches matériaux sur l'histoire de l'Opéra à Lisbonne. Son Summario de varia hlstorla (i), sorte de mosaïque littéraire sur les sujets les plus variés et les plus'eurieux, renferme des notes fort utiles sur l'histoire des arts et métiers en Portagal. M. Guimarâes tient le feuitleton musical du Jornal do Commente et y exerce la critique d'une façon très-honorable ses articles sur le théâtre de S. Carlos (Opéra de Lisbonne) sont remarqués on trouve encore des travaux de lui dans VArcMvo Pittoresco, dans Artes e lettrat, etc., etc.

i, os V.

GUIMET(Éuu.b), riche Industriel et amateur distingué de musique, est à Lyon en 1830. l-ïls d'un Inventeur dont tes nouveaux procédés chimiques firent faire de grands progrès à certaines industries spéciales, et qui, en exploitant lui-même ces procédés, augmenta d'une façon notable une fortune dé à considérable, U. Guimet, tout en aidant dans ses entreprises son père, auquel il a succédé depuis, étudia avec ardeur la musique, vers laquelle 11 se sentait attiré par un goût Irrésistible- Il travailla d'abord le piano, puis se livra à l'étude de l'harmonie sous la direction successive de MM. Joseph Lulgtai, Debillemont et Richard Lindau. Dès 1849, II publiait à Paris (chez Flaxland) un recueil de dix Scènes et Mélodies, bientôt suivi d'une série de petites pièce' pour 1e piano, intitulées Croquis espagnol*. Un pen plus tard, M. Guimet écrivait la musique d'un ballet en 2 actes et 4 tableaux, (t) Cttt «n ebol» de «• meUleor» artlelei, pttbHM aatrefoU d»o» le lorwti do Comi»««te.Q«atte totuaes ID oet «Jk para le t* est sous pksm.