Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 414 à 414 sur 498

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 498

Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81%.


tré et fait exécuter aussi les Scènes d'enfants de Scuumanu. M. Godard a fait partie, en qualité d'alto, de diverses sociétés de musique de chambre.

GODDARD (M- DA VISON née Ara- 8EU.A), pianiste fort distinguée, est néeàSaintServan (Bretagne) près de Saiot-Malo.de pa. renia anglais, en janvier (836. Douée d'excellentes dispositions musicales qui se firent jour dès M plus jeunes années, elle fut, a peine âgée de six ans, conduite à Paris, où elle devint élève de Kalkbreuner, le meilleur mattre qu'on pût trouver alors pour développer chez un élève toutes les qualités du mécanisme. Après deux ou trois années d'études, la jeune Arabella put se faire entendre en publie, dans un concerto de Hummel, et en 1816, ses parents l'emmenèrent à Londres, où elle développa son talent sous la direction de Um* Andereon, pianiste de la reine, appelée à jouer devant la reine et le prince Albert, qui furent charmés de son talent précoce, elle devint ensuite l'élève favorite de Tbslberg, qui s'en montrait particulièrement lier, puis s'adonna à l'étude de la grande musique classique et alla faire un voyage en Allemagne pour se perfectionner. De retour en Angle, terre, miss Arabella Goddard «oiïit un cours d'harmonie et de composition avec M. Macfarren, et commença sa brillante carrière de virtuose. Ce n'est qu'en 1850 qu'elle commença è se produire sérieusement en public, mais sa première apparition aux concerts de Hay-Market fit une énorme sensation et son jeu à la fois clair, britlant et limpide, ses grandes qualités de style, la perfection qu'elle apporte dans l'exécution de ta musique classique, lui valurent bientôt les plus grands «accès. Celui qu'elle obtint .en 1853 en jouant, dans une séance de la nouvelle Société Philharmonique, un concerto inédit de Sterndale Bennett, fait époque dans la vie d'un artiste. Depuis lors, miss Arabella Goddard n'a cessé de se faire entendre à Londres et dans tes grandes villes de l'Angleterre, prenant lune part active è toutes les grandes solennités musicales, et prodiguant son talent en toutes circonstances. Elle n'obtint pas moins de succès dans les voyages) qu'elle lit sur ^continent, en se faisant entendre successivement & Paris, Leipzig, Berlin, Vienne, Florence et un grand nombre d'autres -villes. C'est en 1860 que cette artiste fort remar. quable épousa M. Davison, le critique musical renommé du journal le Times, En 1873, elle en. treprit un grand voyage artistique au delà des mers, et parcourut pendant trois années l'Amérique et l'Australie en donnant des concerto qui lui valurent de véritables triomphes. De retour en

Europe, M°" Arabella Goddard s'est fait enten- dre de nouveau à Paris, au mois .d'avril 1877. GODDIKG (T»ÉoooRe-CB*iiie8), corniste distingué, professeur de cor a l'École royale de musique d'Anvers, est né en cette ville «a 1822. Elève du Conservatoire de Bruxelles, Il y remporta en 1840 le premier prix de cor, puis partit pour Paris, où il fit pendant quelque temps partie de l'orchestre des concerto de Musard père, devint en 184a professeur à l'Académie de musique de Valenciennes, retourna à Anvers en 1848, fit un nouveau voyage ea France, où it fut successivement premier cor au Tbéâtre-Lyrique, puis ceux de Rouen, du Havre et de Lyon, et enfin alla se fixer définitivement dans sa ville natale. L'éditeur Gevaert, à Gand, a publié de cet artiate un certain nombre de compositions pour son instrument 40 Morceaux 4e salon; Exercices et Préludes; 5 Airs variés; Trois Mélodies; plus des duos, trios et quatuors pour icors, plusieurs Fantaisies pour fanfare, deux pas redoublés, etc., etc. GODEFKOID (Dictdo.nné-Joseph-GuiiutuE-FÉux). Cet artiste a été chargé d'écrire la musique de la cantate historique qui a été exécutée à Namur, en 1869, lors des fêtes célébrées en cette ville pour t'inauguration de la statue du roi Léopold I".

6O0EFROY (L'abbé L.Fr.), cure de Lailly, ancien mettre de chapelle au petit séminairo d'Orléans, est l'auteur des paroles et de la musique d'un recueil de cantiques à la Vierge intitulé Chants de Mai (Paris, Hartmann, ln-8*, s. d. [1877]).

GOËRMANS, dit GEBMAIX, facteur de clavecins et de pianos, sans doute d'origine aile. mande on flamande était établi à Paris dans la seconde moitié du dix-huitième siècle. Cet artiste Imagina un clavecin dans lequel il avait supprimé. le système du tempérament, et qui, par la multiplicité des touches et des cordes, donnait tous les demi-tons majeurs et tous les demi-tons mineurs. « Ce clavecin, disait ace sujet YAlmanach musical de 1782 présente le m^me système de sons que la harpe de M.Cousineau. JI y a pour chaque octave 21 touches qui entonnent, sçavoir sept sons ou sept notes naturels, sept notes bémols, et sept notes dièses; ainsi,' au-dessus et au-dessous de chaque ton naturel, on trouve un demi-ton majeur et un demi-ton mineur. » 11 doit y avoir une erreur dans cette ^numération, car la gammu comprenant deux intervalles de demi-ton, il n'était besoin, pour chacun de ces deux intervalles, que de deux touches, et non de trois comme pour chacun des Intervallea de ton. Le nombre to-