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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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<st l'auteur d'un opéra bouffe Intitulé lutinda, qui a «lé représenté à Naplesen 1868.

GOBATI (Stefako), compositeur italien, «il né vers 1850, dans un village de l'Italie sep. tentrionale. J'ignore de quelle façon il fit ses dtudes mais on a raconté qu'après avoir écrit son premier opéra i Gotl, le jeune musicien «'en alla tout droit frapper à la porte du théâtre de la Scala, de Milan, d'où il fut rapidement éconduit, attendu qu'il n'est paa plus facile, quoi qu'on en dise, aux jeunes compositeurs de se faire jouer en Italie qu'en France, Peu chaneeux de ce côté, M. Gobati, qui avait pour lui la jeunesse, la foi et l'espérance, partit pour Bologne, avec le désir d'y produire son ouvrage. Il eut la fortune de rencontrer, dans l'imprésario de théâtre communal de cette ville, un directeur qui avait besoin d'un opéra nouveau et qui n'en avait point sous la main. Quoique peu confiant dans la valeur de l'œuvre d'an artiste forcément inexpérimenté, il consentit, faute de mieux, à monter celle-ci, tout en ne fondant pas sur elle de grandes chances de succès. L'imprésario avait tort, parait-il, et le public se charRea de le lui prouver. La première représentation d'i Gotl fut un véritable triomphe pour le jeune musicien, et son nom, Inconnu la veille, fut presque fameux au bout de huit jours; toute l'Italie parla pendant plusieurs mois de M. Gobati et son opéra, joué à Bologne à la fin de 1873 fut reproduit ensuite, avec le même succès, sur plusieurs grands théâtre» de la Péninsule. Le directeur du théâtre communal de Bologne lui commanda aussitôt un second ouvrage, dont le sujet était pris dans un épisode de l'histoire de la domination espagnole 1 Naples après la mort de Masaniello, et qui devait être joué par W BramMIla-Ponchiellf, femme du compositeur de ce nom, M»* Erminia-Borghl-Mamo MM. Campantni, Storti et Naoetti. Ce nouvel opéra, intitulé Luce, et qui ne comportait pas moins de cinq actes, tut représenté effectivement à Bologne, le 25 novembre 1875; H ne fut pas moins heureux que le précédent, et 'son grand succès augmenta encore la réputation naissante du jeune composteur.

GOBBAEBTS (Jean-Iook), compositeur, ne à Anvers le 28 septembre 1835, a fait ses études de piano au Conservatoire de Bruxelles, et a été l'élève de M. Meyeux pour la composition, Dès l'Age de 14 ans, il obtint le premier prix dans un concours de composition ouvert par l'Académie de Louvain. Par malhenr, il commença dès lors à donner des preuves d'une Hcondité trop précoce et qui ne connut jamais de frein, et «e mit à considérer la musique comme

un métier beaucoup plus que comme un art. Producteur infatigable, cetartlste publie par centaines, depuis une vingtaine d'années, soit sons wu nom véritable, soit surtout sous le pseudonyme de Streabbog, qui en est l'anagramme, de petits morceaux de piano, dont la valeur est mince, mais dont, parait-il, le succès commercial est très-grand, non-seulement en Belgique, mais a l'étranger et jusqu'en Allemagne, où, quoi qu'on en dise, la bonne musique n'est pas toujours la plus recherchée. Il ne restera rien de tout cela, et, avec de réelles facultés, M. Gobbaerts se condamne, alors qu'il pourrait faire mieux, au rôle de simple commerçant en musique, ce qui n'est pas absolument l'idéal de l'art qu'il exerce. On assure qu'il travaille ence moment à la com- position d'un opéra- comique. – La sasur de cet artiste, U>>* Virginie Gobbaerts, née aussi à Anvers. est douée d'une jolie voix de soprano qu'elle dirige avec goot. Elle a obtenu un premier prix de chant et de déclamation lyrique au Conservatoire de Bruxelles et, après avoir appartenu un Instant au théâtre des Fantaisies. Parisiennes dirigé à Paris par M. Martinet et aujourd'hui disparu, elle s'est montrée avec succès, dans l'emploi des dugazons, sur les principales scènes de la Belgiquo.

GOBETTI (Francisco), luthier italien de l'école de Crémone, était établi à Venise dans les premières années du dix-huitième siècle. On croit .qu'U avait, été élève d'Antoine Stradl.vari.

GODARD (BenjauinLoois-PaoiO, violo- niste et compositeur, né le 18 aoat 18*9 à Paris, a étudié le violon sous la direction de M. Richard Deminer, et est entré au Conservatoire, en 18(13 dans ta classe d'harmonie de M. Reber. 11 a pris part, en 18C6 et 1807, au concours de composition pour le prix de Rome, sans obtenir de récompense. Sorti du Conservatoire en cette dernière année, M. Godard s'est livré à la composition, et a publié plusieurs mélodies BerceMM, 7e<tef<«~ pM <<!«'rMcAo~M, C/<aM- ceuse, Jene veu,x pas d'rau!res claoses, Ciaatsion de florin», Ninon, Viens, Automne, Chan* son du berger, Fille à la blonde chevelure, Suis- je belle? Printemps, Menuet, Vaudeville, Chanson de Malherbe, J'ai perdu ma tourterelle, puis quelques petits morceaux de piano, une lr* maaurke, une t>* valse, etc. JI s'est fait connaître ensuite par quelques produc.tions plus développées et plus sérieuses, un Con- certo de violon, ;un second concerto romantique, avec accompagnement d'orchestre, exécuté aux Concerts populaires par M»« Marie Tayau, an trio pour piano, violon et violoncelle, un quatuor pour instruments à cordes. 11 orches-