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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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lingue, qui avait été nommé professeur de cor au Conservatoire de Paris le 16 novembre 1842, ii cccupé ces fonctions jusqu'à sa mort. A la liste ,le ses compositions pour son instrument, il faut ajouter les suivantes: préludes mesurés et non mesurés, op. 27, Paris, Colombier; 2" 13 Grand* Caprices, op. 32, ib., lb.j 3' 12 Duos faciles, op. 14, ib., ib.; Nocturne cancertant avec piano, op. 36, ib., id.; 5" 3 Grand, Trios, pour troiscors, op. 24, ib., ib.; Grand Quatuor pour quatre cor. en différents tons, op. 26, ib., ib.; 7* 14 exercices dans tous let tons majeurs et mineurs, op. 37, Paris, Schonenberger; 8* 12 Grandes Études brillantes, op. 43, ib., ib.; 9* 12 Études pour le deuxième e cor, op. 67, ib., Ib.; 10° Méthode complète de cor, ib., ib.

GALLAY (Jcies), violoncelliste amateur et dilettante passionné, né à Saint-Quentin (Aisne) on 1822, s'est fait connaître par plusieurs publications intéressantes relatives à la musique, et Itarticulièrement à la lutherie. Os publications sont les suivantes les instruments à archet à l'Exposition uniterstlle de 1867 (Paris, imp. Jouaust, 1807, in- 12 de 67 pp.); – 2* tes Lu tüiers f taideas aux X Vlfe et ~)'W <<eC<<M, nouvelle édition du Parfait Luthier [la Chétonomie) de Vabbé Sibire, suivie de noles sur lesmallresdes diverses écoles (Paris, Académie des Bibliopbiles, 1869, in-12), réimpression textuelle de l'ouvrage bien connu de l'abbé Si*bire, avec une préface et des annotations importantes;- le Mariage de la Musique avec la Dance (réimpression de cet écrit fameux de Guillaume du Mtnob), précédé d'une inlroduction historique et accompagné de notes et éclaircissements (Paris, Académie des; Bibliophiles, 1870, In-12);- 40 les Instruments des écoles italiennes, catalogue précédé d'une inU-odiiction et suivi de notes sur les principaux maîtres (Paris, Gand et fiernardel, 1872, in-12). M. Gallay, qui est adjoint à la mairie du VHl« arrondissement de Paris et chevalier de la Légion d'honneur, a été désigné comme membre du jury international à l'Exposition universelle do Vienne (Autricbe) de 1873; c'est en cette qualité Qu'U a rédigé le Rapport sur les instruments de musique archet) publié en t875 (Paris, Imprimerie nationale, in-4 de 14 pp.). M. Gallay est l'un des collaborateurs du supplément de la Biographie universelle des Musiciens. G ALLEANI ( Un musicien de ce nom a fait représenter en 1877, sur le Théâtre Principal, de Barcelone, une opérette en 3 actes, intitulée Fiordtrosa, dont le sn jet était emprunté, ainsi que cela arrive neuf fois sur dix à l'étran-

ger, de la pièce française connue sous le titre de Fleur de Thé.

GALLEGOS (J.), mécanicien espagnol, est l'inventeur d'un instrument baptisé par lui du nom de harpe philharmonique, et que M. Paul Lavlgne (Anatole Loquin) décrivait ainsi, an mois de mai 1860, dans le feuilleton musical du journal te Gironde « M. J. Gallegos est l'auteur d'un instrument de musique des plus curieux, qui nous parait destiné à remplacer, ai son au.teur parient à le répandre, les différents instru- ments à cordes pincées qui sont encore employés A notre époque. Cet instrument, auquel son in»venteur a donné le nom de harpe philharmonique, contient à la fois les cordes graves du violoncelle, une guitare complète, et toute la série aiguë des cordes de la harpe. Il a deux manches l'un de basse, l'autre de guitare, ce qui n'empêche pas sa forme d'être des plus élé.gantes. »

GALLETT1 GIANOLI (Isabella), cantatrice fort remarquable, née vers 1835, s'est fait une grande réputation dans sa patrie et est con- sidérée par les Italiens comme la plus grande chanteuse dramatique qu'ils possèdent. Cette renommée ne me paraît pas exagérée, car j'ai entendu Mm« Galletti en 1873 à Milan, au tliéetre dal Verme, dans la Favorite, et j'ai reconnu en elle une artiste de premier ordre, douée d'une voix sonore, grasse, souple et étendue, sachant conduire cette voix avec le goût le plus parfait, et possédant en même temps un grand sentiment de la scène et d'incontestables qualités dramati- ques. Il est ficheux qu'un embonpoint exagéré vienne porter tort aux facultés dela virtuose, dont la respiration est parfois gênée et embarrassée. Toutefois, Mm« Galletli-Gianoli, qui n'a connu jusqu'ici que des succès, a conservé toute son influence et son autorité sur le public, et la supériorité de son talent n'a pas été étrangère au grand succès qui a accueiili l'an dernier (1875), à Florence, la Dolores du jeune compositeur Auteri-Manzocchi (Voyez ce nom). On aura d'ailleurs une idée de la valeur que les Italiens attactient au talent de cette grande artiste par l'annonce que faisaient récemment les journaux de la Péninsule, qui affirmaient que la direction du théâtre Apollo, de Rome, l'avait engagée pour une série de représentations à 1,800 francs l'une, chiffre peu habituel en Italie.

M"* GallflttMJianoli commençait sa carrière lorsqu'on 1800 elle était à Brescia, où on lui prédisait un brillant avenir et où on la comparait à la Malibran et à la Cruveili. L'année suivante, elle était engagée au théâtre San-Carlo, de Naples, oit elle se montrait avec succès. En 186$ 1