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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ensuite (1806-1809) directeur de celui de sa ville natale, puis, jusqu'en 1820, fut aussi di- recteur de plusieurs théâtres des départements français. On ignore la date de la mort de cet artiste.

FÉMY (Henri), frère da précédent, fut un violoniste remarquable, et après avoir été atta- ché pendant quatre ans au théâtre de Lille en qualité de premier violon, se produisit comme virtuose, et excita, dit on, l'admiration non-seulement en France, mats en Angleterre et en Italie. Une mort prématurée arréta à son aurore la carrière de cet artiste, qui promettait d'être extrêmement brillante.

FÉMY (FiuKS 'ou François) fils aîné d'Ambroise. On assure qu'en 1811, il obtint un emploi à la chapelle du roi de Westpl.alle. Le 22 mars 1813, il faisait représenter Anvers un opéra-comique en 2 actes, les Trois misants, écrit peut-être sur le même livret que celui que Cnampeln avait donné à Paris, sous le même titre, quelques années auparavant. Fixé plus tard en Hollande, il y passa pour le premier vio- toniste de ce pays.

FÉMY (Joseph), frère du précédent, troisième fils d'Ambroise. (t), fut un flûtiste extrê- mement distingué. Les renseignements biographiques font complètement défaut sur cet artiste. FÉMY (Adèu), sœur des deux précédents, fut à la fois une cantatrice et une violoniste des plus remarquables. Elle acquit en France, en Angleterre, mais surtout aux États-Unis ulle réputation colossale. Elle habitait encore en 1847 ce dernier pays, où elle est morte sans doute. FÉMY (AuauNDRE-JosEpn), professeur de musique, semble avoir appartenu à la même famille que les précédents. Celui-ci a été condamné à la peine de mort par le tribunal du déparlement du Nord, impliqué qu'il était comme agent de l'étranger dans une conspiration ourdie à l'époque du l8Fructidoran VI (4 septembre 1797). FEXDT (Bernard), luthier, né en 1750 & Inspruck, dans le Tyroi, était probablement fils d'un luthier de ce pays. On croit qu'il résida quelque temps à Paris, après quoi, fort jeune encore, il passa en Angleterre. Des son arrivée à Londres, il fut employé par Dodd ( Voyez ce nom), et ayant décide son compatriote Frédérik Loti, très habile ébéniste déjà établi en cette ville, à quitter son état pour faire des vivions, il travailla longtemps avec lui pour Dodd et sous la direction de celui-ci. Plus tard, Fendt fit pour Joha Bette des copies d'Amati qui sont aujourd'hui très-prisées des Anglais.

(l) te wcind ûUd'AmbroHeiUU Henri fémj, (Voy« Biographie wiheneUc drt MusicUtu, t. III.)

FEXDT (BeniMRD-SmoN), premier fils du précédent, né à Londres en 1800, fut aussi un habile ouvrier. Malheureusement, le désir de produire rapidement lui fit moins soigner son travail que ne le faisait son père la quantité de violons, d'altos, de violoncelles et de centrebaa. ses qui sont «Mis de ses mains est Incalculable, et ses copies de Guarnerius, particulièrement, se comptent par centaines. Néanmoins Fendt produisit, » l'Exposition universelle de 185), un quatuor qui fut remarqué. Un fils de cet ar. tiste, William Fendt, travailleur très-habile.'J'a beaucoup aidé, surtout dans la construction des contrebasses.

FENDT (MAnTix), second fils de Bernard Fendt, ne manqua point de talent et fut l'un des bons luthiers qui travaillèrent pour Juhn Betts. FENDT (Jacob), troisième fils de Bernard, fut le plus! habile de ses enfants. On considère comme fort remarquables ses copies des maîtres Italiens, et l'on regrette seulement qu'il se soit cru obligé, par une mode blâmable et qui a duré trop longtemps, d'imiter jusqu'à l'usure du vernis à la place du menton et des doigts. FENDT (Francis), quatrième fils de Bernard, a aussi exercé & Londres, comme son père et ses trois frères, la profession de luthier. FEXZI ( ), compositeur italien, a fait représenter a Taganrog, aumoisde Janvier 1872, un opéra sérieux Intitulé i Prodi di Mosca, dont l'insuccès a été complet.

FEO (Fiiançois). Dans la nolice que M. FranccscoFlorlmo a consacrée à ce grand artiste (Cenno ttorico sulla Scuola musicale dl Napoll), on lit les lignes suivantes « Bien que les biographes l'appellent tantôt di Feo, tantôt de Feo, pourtant >lans les autographes et dans les livrets imprimés qu'il a mis en mu. sique et qui existent au conservatoire» de Napies, il est appelé simplement ~7~ancesco Fea. D'autre part, et quoique M. Félis ait fixé l'année de sa naissance à 1699, nous devons imiter Villarosa et nous taire sur la date lie sa naissance et celle de sa mort, parce qu'elles ne résultent d'aucun document. il est certain que Feo n'a pu naltre en 1699, car II existe dans notre Conservatoire le livret, imprimé à Napies, de l'Anwr (irannko, représenté au théâtre San Bartolomeo le 18 janvier 1713. Il est donc à supposer que sa naissance est bien antérieure à l'époque indiquée, puisqu'il n'aurait certainement pu, à l'âge de treize ans, écrire un opéra pour la première scène musicale qui existait alors. » On voit que le premier ouvrage dramatique de Feo' fut VAmor tirannico, ostiu Zenobiu, représenté au théâtre San- Bartolomeo en 1713; le se.