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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tonne Gand, sa tille natale, pour un étabat maltr mit au concourt, et «a 184s U obtint à Paris, en partage avec MM. Cbollet et Nlcou- Choron, une nouvelle récompense pour la eom.position de chante religieux et historiques. Enfin, en 1848, le gouvernement de ta République française ayant ouvert un concours pour la composition d'an choeur national (Gloire à la noble France, paroles de M, Fournier), 800 artiste» prirent part à ce concours, et Ermel, couronné de nouveau, obtint une médaille de bronze. Devenu membre de la commission municipale pour l'enseignement du chant dans les écoles de Parte, Ermel faisait partie de la Société des compositeurs de musique. Il est l'auteur d'un Soi. fège choral transposUeur, pour faciliter l'enseignement du chant sans accompagnement par les exercices fondamentaux d'intonation dans tous les tons et dans toutes les maures (Paris, Brandus, in-8»). Je crois qu'il a publié aussi un certain nombre de compositions de divers genres.

Un frère aîné d'Krmel, musicien aussi, se sai.cida en 1840 (1). Leur père, né à Mous en 1702, et établi à Gand dès ses plus jeunes années, était un pianiste fort distingué, en même temps qu'un compositeur et un chanteur aimable. « Personne (dit Y Annuaire dramatique belge pour 1843) ne chantait la romance avec plus de goût et de pureté-, sa méthode d'enseignement était excellente et éprouvée, et nombre de nos pianistes les plus brillants dans les classes dis- tinguées de la société, étaient ses élèves. Ermel a également écrit la musique et souvent les paroles de plusieurs cantilènes et aria qu'on entend quelquefois chanter, et qui plaisent sinon par la fougue et ta verve du compositeur, du moins par la vérité et les grâces de l'expression et du sentiment. » Cet artiste mourut à Mons le 22 avril 1842.

ERNEMANN(Maubicb), estmort à Bres- lau au mois d'août 1886. Cet artiste était né à Eisleben, non en 1810, comme il a été dit par erreur, mais en 1800.

EMOUF (Le baron), écrivain français, a (1) II .'appelait Mugvttffrantoit.B«muird brmm,. m a O«Jd tu ms. établi 4 Bruidle» comme professeur de piano, cet truste, ton d'an voyage qu'il flt 6 Anran, se pendit dant la chambre qa'il occupait l'hôtel ta Com. metea (• novembre i«W|.

Ha outre artiste du m«o» nom, et rraUemblablKneot de la même famille (inolqae Ja ne pnlne pas l'afflrraert, 4UxU Sun»., vivait dan» le même temps à Bruielln, où or représenter un opéra Intitule la feUU« au Tourna, On lui doit «tus» des mélodies, des caattMt, tt des ebotur» dont l'un surtout est détenu- Urët-popa- &1r«iot»l« le titre de Chant it$ Carabiniers.

consaorô une partie de ses travaux a quelques études musicales dans lesquelles U a fait preuve de goût et d'un bon sentiment artistique. Successivement rédacteur de la Revue contemporaine et de la Revue de France,' où, sous le pseudonyme O. Mercier, U était charge de la chronique musicale, il a publié, dans le premier de ces recueils et sous 800 nom véritable, quelques résumés fort intéressants de la vie de plusieurs grands artistes: Beethoven (31 décembre1804), MendeUsoun (St octobre 1864), Meyerbeer(t5 mat 1864), Robert Schumann (31 janvier 1 864), et Rossini (15 décembre isog). Ces notices, utiles surtout au point de vue historique, bien qu'il s'en dégage un sentiment critique et poétique généralement juste, sont précisément conçues dans le sens des travaux auxquels on donne en Angleterre le nom i! essais, et elles peuvent être consultées avec d'autant plus de fruit qu'elles ae sont pas de simples dissertations, et qu'elles ont été écrites a l'aide de documeots originaux et des derniers travaux pubilds dans leur pays sur les artistes qui en font l'objet. Il est fâcheux que M. Ërnouf n'ait pas eu l'idée jusqu'ici de réunir en un volume cette série d'études d'un genre tout spécial. A une époque où la littérature musicale est infestée de travaux sus valeur, hâtifs, bâclés à la hâte et écrits sans conscience il serait bon de ne point laisser enfouis dans les colonnes d'un journal des écrits sains, honnêtes, et dont la lecture ne peut qu'être profitable.

ERNST (Hbnbi-Wuheui), est mort le 7 octobre 1806 à Nice, dont les médecins lui avaient recommandé le séjour, à la sutte d'une profonde altération de sa santé. Il a laissé en manuscrit plusieurs oeuvres de musique de chambre. Parmi ses compositions publiées, 11 faut signaler particulièrement une série de morceaux pour piano et violon, intitulés Doute pen. sées fugitives (Paris, Brandus), et écrits par lui en société avec M. Stéplien Hcller.

ERRICIIELLI (.). Un compositeur italien de ce nom a écrit, en société avec Jérôme Coccbi, un opéra bouffe Intitulé la Serva asluta, qui fut représenté au théAtre des Florentin!, de i Naples, en 1753.

ESCn&lAJVN (Jules-Charles), compositeur de talent, est né à Winterlbur vers 1825, a fait ses études musicales à Cassel, oh il est reste pendant longues années et où U a publié des compositions fort distinguées pour piano seul et pour piano et violon, ainsi que des mélodies vocales. M. Eschmann, qui, dit-on, s'est surtout inspiré do Robert Schumann dans ses productions musicales, est aujourd'hui fixé il Zurich,