Rappel de votre demande:
Format de téléchargement: : Texte
Vues 305 à 305 sur 498
Nombre de pages: 1
Notice complète:
Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...
Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte
Éditeur : Firmin-Didot (Paris)
Date d'édition : 1878-1880
Sujet : Musique
Sujet : Musiciens
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 2 vol. ; in-8
Format : Nombre total de vues : 498
Description : Bibliographie
Description : Biographie
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81%.
curent à ce sujet, du maréchal de Lautrec, une lettre d'excuse*. On peut consulter sur tous ces faits l'intéressant « Discours de réception de M. l'abbi Lançtois, contenant la mue des maîtres de chapelle et musiciens de la métropole ̃le Rouen, » prononcé dans la séance du 28 juin 18&0 de l'Académie des sciences, belles-leUrea et arts de Rouen, et publié dam le Priait analytique des travaux de cette académie.
DUKE. (Ricimrd), l'un des luthiers anglais les plus fameux. était établi Londres en 1763. Sa réputation fut très-grande en Angleterre, où son nom était plus connu que celui de Stradivarius, et où tous les artistes et les amateurs voulaient posséder un Duke véritable. Aussi ses produits ont-ils été aussi contrefaits dans son pays que ceux des grande luthiers italiens l'é> talent dans toute l'Europe. Duke lui-même n'était pourtant qu'un copiste, comme tons ses confrères anglais, et Imitait de préférence les Instrumentsd'Amatietde Steiner. Ses copies du premier sont plus estimées que celle» du second. – Cet artiste eut un 01s, portant le même pré. nom que lui, qui fat aussi luthier à Londres. DULLO (Gustave), compositeur, a écrit la musique d'un drame lyrique intitulé Barold, le dernier roi saxon, qu'il a tait représenter à Kœnigsberg, sur le théâtre de la ville, le 2 décembre 1872. Le 24.mara 1870, cet «liste don.nait sur le même théâtre un autre ouvrage important, Eben-Ari, opéra-comique en trois actes. DULOT (.), compositeur Inconnu de la première moitié du seizième siècle, a fourni au recueil de chansons françaises à quatre voix publié vera 1530 par l'imprimeur Pierre Atlai- gnant, la musique de la chanson Bn espérant le printemps.
DU MAXOltt. Les recherches faites et les document» authentiques produits par Jal, dans son Dictionnaire critique de biographie H d'histoire, permettent d'augmenter l'ensemble de renseignements relatifs à cette famille de musiciens.
Mathieu Du Manoir, le premier en date, connu en 1615 comme maître joueur d'instru- ments, était en 1640 violon ordinaire de la cham- bre de Louis XIII. On ne sait tien de plus anr son compte.
Claude Du manoir, sans doute fils ou neveu du précédent, exerçait la même profession. C'est lui, et non pas Guillaume, comme il été dit par erreor.quf, à la mort de Louis Constantin (Foy. ce nom), lui succéda en qualité de premier violon du cabinet du roi et de roi des violons et mettre des ménétriers. L'ordonnance royale qui le nom.onil à ce double emploi, datée du 30 novembre
1057, fut enregistrée au Parlement le 31 janvier 1058.
Guillaume Du Manoir, fils de Mathieu, fameux par son factum le Mariage de; la musique avec la dance, naquit le le novembre 1615, épousa le 27 septembre 1639 Catherine du Prou, fille d'un vtolon ordinaire du roi, et en secondes noces Marie Chevalier, dont il eut plusieurs enfants, entre mitre* celui dont il est question cl-«pres. Sut\ uu\ les registres du Trésor royal, Guillaume Du Manoir avait 385 Uvres de gages annuels, plus 50 livres de récompense pour chaque quartier. C'était, on le voit, une royauté peu coûteuse. 11 avatt succédé en 1059 à Claude, qui mourut sans doute h cette époque et dont le règne n'avait pas été de longue du · rée.
GuMaume-tlichel Du Manoir, fila du précédent, continua cette dynastie musicale. Il figura avec son père dans une des entrées du ballet de Psyché, jouant de son instrument è la suite de Bacchus. En 1677, il était avec loi en tête de la liste dea violons do roi, et avait obtenu la survivance de sa charge de roi des ménétriers. Il lui auccéda en effet, mais fat le dernier qui monta sur ce trône fragile. La souveraineté dis.parut lors de son abdication.
DUMESNIL (Alfhed). Cet écrivain distin- gué, qui s'est fait connattre par plusieurs tra.vaux de critique et de philosophie i'4rt italien, Bernard Palissy, Molière, l'immortalité, etc., est l'auteur d'un écrit anonyme, intitulé La Foi nouvelle cherchée dans Vart, de Rembrandt à Beethoven (Paris, Comon, 1850, in-12), DUMONT (Rmjlin), compositeur, né & Rouen vers le milieu du seizième siècle, prit part en 1&30 au concours du puy de musique d'É.vreux, et y remporta le prix de la lyre d'argent pour une chanson française Hosiignolet du boys.
DUMONT (Feux), pianiste, professeur et compositeur, fils de Mm< Mélanie Dumont, auteur dramatique, est né à Paris le 14 août 1832, et a fait ses étmles au Conservatoire de cette ville. A peine Agé de seize ans, il faisait exécuter aux Champs-Elysées un Hymne à la paix de sa composition. Après avoir terminé son éducation mualcale, il se livra a l'enseignement, et se fit une réputation distinguée comme professeur. En dehors d'un certain nombre de morceaux de genre pour le piano, M. Dumont a publié sous ce Utre, V École du piano, un ouvrage fort important, dont il n'a pas été fait moins de sept éditions et dont le succès n'est pas épuisé. Parmi ses autres compositions, on remarque une Afar- che triomphale à grand orchestre, qui a été