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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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précié, tant à Liibunue qu'a Madrid, mais ce qui rendit sa réputation universelle dans les Espagne», ce fut son jeu admirable sur un in«trument appelé Viola do sete cordas (Instrument de la famille des luths et qui est encore très- répandu en Portugal ). De retour de Madrid à Lisbonne en 1003, il périt d'une façon désastreuse entre Tdlaverla et Lobon, sur le passage d'une rivière, en compagnie d'autres gentilshommes portugais. Ses iMmentaçOes de Jeremias étalent très-estimées a Lisbonne ou on les chantait pendant la semaine sainte. J.-oeV. AGUIliltË (Abfxiso), compositeur dramatique espagnol, est l'auteur d'un opéra sérieux italien, gli Amanli di Teruel, qui a été représenté sur le théâtre principal de Valence le 16 décembre 1865.

AIlLEtELDT (M1™ la comtesse ton), célèbre pianiste allemande vivait vers la lin du siècle dernier. On connaît d'elle la musique d'un opéra-ballet Tclémaqu» et Calypso, qui prouve des connaissances musicales solides. Y.

AHLSTROEM, compositeur suédois de la fin du dernier siècle, était attaché à la cour de Stockholm. 11 a écrit beaucoup de musique de chambre et plusieurs opéras, auxquels ses compatriotes accordent grand mérite. Ahlsliœm a également composé beaucoup de chansons populalres suédoises, dont quelques-unes ont été popularisées plus tard par la célèbre canta.trice MIM Jenny Lind. Y. A1UL1NGER (Joseph-Gaspard), compo- siteur, esl mort a Munich au mois de mat 1807. AIMO\ (Espiut), père de Léopold Almon, dont il est parlé dans l'article suivant né à Lisle (Vauciuse) en 1754, mort à Paris en 1828, était un violoncelliste remarquable. tl dirigea quelque temps la musique du comte de Ranlzau, ministre de Danemark, qui s'était établi dans le Comtat; puis il vint se fixer à Marseille, où il vécut plusieurs années. Cet artiste a composé des quatuors et quintettes pour instruments a cordes, et un opéra de circonstance, l'Autel de la Patrie, qu'il fit représenter à Marseille pendant la Révolution. Al. R-d. *AI.MON (Potr-mui-LéopoLD-FiUNçois) est mort & Paris lu i lévrier 1866. A la liste de ses œuvres, il faut ajouter 1° la Fie Urgèle, opéra-comique en un acte joué au Gymnase (1821) avec un très-grand succès; 2°tesSybarites de Florence, pastiche mêlé de musique tirée de diverses «-uvres de Weber, de Meyerheer et de Rossini et de musique nouvelle compoMe par Aimon et hl. Barbereau, et représenté aux Nouveautés le 8 novembre 1831 3° des

chwurs remarquables écrits pour une tragédie de Casimir Delavigne, le Parla, a la ComédieFrançaise. La onzième édition de VAbéctdalre musical d'Aimon a été publiée en I8C0 (Paris, Meugel, in- 12).

AIBETON (Edward), luthier anglais établi à Londres dans la seconde moitié du dix-liullièmo siècle, a produit en grand nombre des violons et violoncelles qui furent assez estimés. Il copiait principalement les formes du grand luthier Amati, et son vernis, tirant sur le jaune, était d'une belle qualité. Airelon mourut en 1807, âgé de quatre-vingts ans.

ALARD (Oeu-hin). Cet excellent artiste a pris sa retraite de professeur au Conservatoire du mois d'octobre 1875. Sa classe, qui était une des plus brillantes de cet établissement, a roumi un grand nombre d'élèves remarquables, parmi lesquels on peut.surtout citer MM. Garcin (Voy. ce nom), Lancien. Adolphe Blanc, White, Sarasate, Paul blartin, Accursi, Paul Juliien, M"" Bastin, Tayau, Pommereul, etc. Les dernières séances de musique de chambre dans lesquelles M. Alard s'est fait entendre, ont été données par lui dans la grande salle du Conservatoire, en 1871 et 1872, en compagnie de son vieux par.tenaire M. Francbommo, et de M. Francis Planté. 'Elles produisirent un très-grand effet. Dans ces dernières années, il a publié encore un grand nombre de compositions pour son instrument, consistant surtout en fantaisies sur des motifs d'opéras célèbres. M. Alard était le gendre de l'excellent luthier Vuillirame, mort récemment. *A1.AUY (Ji-LES-Ei-cÈNE-AaiuiuH). Je trouve les renseignements suivants sur M. Atary dans une note autobiographique publiée par lui (4 pp. in-8°, Paris, imp. Kugelinann). M. Alary est né en l8t4,àUantoue, de parents français; élevé au Conservatoire de Milan, il arriva à Paris en 1833, devint chef du chant au CasinoPaganini en 1836, et en 1840 alla faire représenter à Florence un opéra sérieux en 2 actes, intitulé Rosmunda. De relour.aussitôl à Paris, 1 acceptait, en 1841, les fonctions de chef du citant et de bibliothécaire da la Société de musique religieuse et classique fondée par le prince de la Moskowa. En 1850, il faisait exécuter au ThéAtre-Ilalieniiectem/rf ion, mystère en cinq par. ties, et donnait au même théâtre, l'année suivante, un opérabouffeentrois actes, le Tretioste. Appelé à Saint-Pétersbourg, en 1852, pour y faire représenter un grand opéra en cinq actes, Satdanapale, it était nommé, des son retour en France en 1853, accompagnateur de la chapelle impériale, fonctions qu'il conserva jusqu'à la chute de l'empire, et en même temps devenait