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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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X).; son câté.Jat, qui, dans Fon Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, cite nombre de documents authentiques nous fournit sur François H Couperin et sur quelques autres membres de la famille, des renseignements pré.cieux. François naquit (rue du Monceau St-GerTais) le iD novembre 1608, et il épousa MarieAnne Ansaull. Sur l'acte de baptême de sa fille Marguerite-Antoinette, dont il sera question plus loin, il prend les titres de « chevalier de l'onire de Latran, organiste de la cuapfelle du Roy, et profeaseur de Monseigneur le due de Bourgogne. » A ces détails, Jal ajoute ceux-ci, qui ne sont pas sans intérêt « Le musicien qui avait la charge d'organiste de la chapelle du roi étant mort, dans les derniers mois de l'année 1093, plusieurs musiciens se présentèrent pour recueillir sa succession; François II Couperin prétendit comme les antres à cette charge. il avait viugtcinq ans, et déjà on le connaissait àSaint-Gervals et dam toutes tes églises de Paris, sa réputation s'était établie parmi les organistes. Le concours fut jugé, et voici ce que je lis à ce sujet « Aujourd'hui, 26 décembre 1693, le Roy estant « a Versailles, après avoir entendu plusieurs or« ganistes, pour juger de celuy qui seroit le plus < capable de remplir la charge d'organiste de sa a chapelle, vacante par te déceds de Jacques « Thomelin (t), Sa Maj. a fait choix de Fran« cols Couperin, comme le plus expérimenté « en cet exercice, et pour cet effet l'a retenu et « relient audit estât et charge d'un des orgn- « nlsfes de sa chapelle, pour y servir en cette « qualité pendant le quartier do janvier et jouir • de ladite charge, aux honneurs, prérogatives « attachés et aux gages de 600 livres, droits, « profils, revenus, etc. a (Bibliothèque nationale, Ms. Clalramb. $60, p. 889). Plus loin, Jal nous apprend que François Couperin ne dédaigna pas de se faire faire des armoiries « Lorsque Louis XIV, dit-il, en 1096, permit à tout le monde de prendre des armoiries, François li Couperin ne se refusa pas l'innocent plaisir de se retirer vers les commissaires de Sa Majesté et de se faire composer un blason par d'Hozier. Il paya tingt livres, et un de messieurs les commissaires écrivit sur te registre des procès-verbaux de la commission « François Couperin, a organiste de la chapelle du Roy, porte d'azur « è deux tridents d'argent passés en sautoir, ae« coslé de deux étoiles de mesme, et accom« pagné en chef d'un soleil d'or, et en pointe « d'une lyre de mesme. »

COUPERIN (Louise), cantatrice et cla(i) Celui pr«U4ment qui «irait «te ion pratcMeur.

veciniste Imbile, «ait fille de François 1" Couperin, et naquit à Paris non en 1674, mais vers 1076. Cette artiste, qui était digne de la famille à laquelle elle appartenait, mourut, dil-on, en 1728, à t'age de cinquante-deux ans. Jal ne produit aucun renseignement concernant Louise Couperin.

COUPERIN (MAnie-ANNi), organiste et cla< veciolsie, sœur de ia précédente. Cette artiste, qui se fit religieuse et devint organiste de sou couvent, n'était point fille de François II Couperin, comme t'a dit l'auteur de la Biographie universelle du Musiciens, trompé par la similitude des noms, mais de François I" Couperin. Ce qui te prouve, c'est qu'elle naquit a Paris le il novembre 1077, qu'elle fut baptisée à l'église Saint-Louis-cn-l'fsle le 14 du même mois, et qu'elle eut justement poor parrain François 11 Couperin, son eousln et non son père, fils de Charles Couperin, organiste de StGerçais. Marie-Anne Couperin était Olle, non de bladelelue Joutteau, première femme de François I*' Couperin, mais de Louise Bongard, sa seconde femme.

COUPERIN (Nicolas), frère des deu\ précédentes et fils de François 1" Couperin, naquit à Paris le 20 décembre 1680. Il épousa M«e Françoise de La Coste.

COUPERIN (AUrcuemte-Antoinmtk), fille de François II Couperin, claveciniste fort distinguée, naquit à Paris le t9 septembre 1705. On sait qu'elle obtint la charge de claveciniste de la chambre du roi, et qu'elle fut la première femme chargée de ces fonctions. Voici ce que dit Jal à ce sujet rt Marguerite-Antoinette suppléait son père depuis assez longtemps, quand, en février 1730, le roi lui donna le brevet île survivance d'ordinaire de la musique de S. il. & la place de son père. Elle-même eut pour survivancier, te 25 novembre 1741, Bernard Bury; mais elle garda jusqu'à sa mort, comme ̃t'Anglebert et François Couperin, le titre et les traitements de claveciniste de la chambre (I). ). Je n'ai pu connattre l'époque de la mort d'Anloinette-MarRuerite Couperin. »

COUPEftlN (AnuANo-Loms), Dis de Nicolas, naquit à Paris le 95 février 1726, et non le « janvier 1721. C'est Jal qui produit cette date, en faisant connaître qu'il fut baptisé le lendemain à l'église Saint-Gervais, dont son père était alors organiste. Le même écrivain donne encore les détails suivants « Armand-Louis Couperin épousa Elisabeth- Antoinette Blsnchet, qui lui donna plusieurs enfants. On dit qu'il mourut des suites d'un accident ce qui était arrivé à son 0} AreliiTia de l'Bmstre. Secrétariat, 8. MM, p, <«.