Rappel de votre demande:
Format de téléchargement: : Texte
Vues 219 à 219 sur 498
Nombre de pages: 1
Notice complète:
Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...
Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte
Éditeur : Firmin-Didot (Paris)
Date d'édition : 1878-1880
Sujet : Musique
Sujet : Musiciens
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 2 vol. ; in-8
Format : Nombre total de vues : 498
Description : Bibliographie
Description : Biographie
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81%.
COQUET (.), musicographe français de la première moitié du dix-huitième siècle, n laissé un ouvrage intitulé s la Musique rendue wislble, «tec un traité du monochorde. COIiliESIfill (Antonio), musicien italien dont le nom trahit évidemment une origine française, naquit à Naples dans la première moitié du dû-huitième siècle, et lit représenter en cette Tille les deux ouvrages suivants it Menante innamorato, opéra qualiiié invenzione per muslca, tb. des Florcntiol, 1750; et « Finto innamorato, id., 1751.
CORDELLA (Gerokimo), compositeur et organiste italien, né dans le royaume de Naples, vivait au dix-huitième siècle et fit représenter en 1747 è Naples, sur le théâtre des Florentin!, un opéra intitulé la Faustina. Cet artiste vécut vieux sans doute, car en 1783, c'est-à-dire trente. six ans plus tard, II remplissait les fonctions d'organiste à l'archiconfrérie de SanVAnna di Palazzo, à Naples.
CORDEIXA (Jacques), fils du précédent, est mort à Naples, le 8 août 1846. Boa professeur de citant, organiste habite, excellent accompagnateur, compositeur distingué surtout daos le genre bouffe, cet artiste était professeur de sol- fège au Conservatoire de Naples, mettre de chapelle dans plusieurs couvents de cette ville, et fut pendant longues années directeur de la musique au théâtre San-Carlo. Il faut noter que son opérette i l'inti Savojardi, jouée à Venise en 1820, n'était qu'une réédition, sous un nou. reau titre, de celle qu'il avait donnée longtemps auparavant, dans la même ville, sous celui d'il Clarlatano.
CORDERO Y FEKNAXDEZ (Antonio), chanteur espagnol, né à Séville le 30 mars 1823, reçut une bonne éducation musicale, embrassa bientôt la carrière du théâtre, fit apprécier sa jolie voix de ténor sur les scènes de Grenade, Malaga, Cadix et Séville, puis, en 1849, étant entré à la suite d'un concouis à la chapelle royale de Madrid, se fixa en cette ville, abandonna le théâtre et se consacra à l'enseignement. Cet artiste a publié, en 1858, un traité de chant sou» ce litro Escuela completa de canlo en todos sus géneros y p~rincipaln:enle en el dramatico eapanod d ilaltano. M. Cordero a pris part à la rédaction de plusieurs journaux de musique, dans lesquels il a publié un grand nombre d'aiticlcs de doctrine, d'histoire ou de critique spéciale.
CORD1ALI (.), compositeur italien, a écrit, en société avec M. Denina, la musique d'un o)>éra-batlet en 4 actes et 7 tableaux, Ho- berto di yomandla, qui fat représenté an
mois d'août 18C4, sur le théâtre Alfleri, de Turln, avec un médiocre succès. Depuis lors, aucun de ces deux artistes ne s'est produit de nouveau à ta scène.
COKDO.WIER (M*iiiE-Loiis-f«BAiN) clerc du diocèse d'Amiens, compositeur, né en cette ville vers te milieu du dix-huitième siècle, commença par enseigner la musique à Paris, oit il eut, dit-on, pour élève le célèbre chanteur Garât. Devenu maître de chapelle de la eattiédrale d'tvreux, il fut appelé, en 1783, à remplir les mêmes fonctions à la cathédrale de Rouen, où il admit au diurne, en 1786, un enfant dont la renommée devait être plus tard européenne, le jeune Adrien lioicldieu (1). Dans son discours de réception à l'Académie de fiouen (Revue des maîtres de chapelle et musicien» de la métropole de Jtouen), M. t'abbé Unglois donne lès détails suivants sur cet artiste « Devenu commerçant et père de famille après la Révolution, Cordonnier continua de cultiver son art. Sous l'empire, il diiigea pendant quelques années la musique de la cathédrale de Valence. Une de ses dernières œuvres est le psaume Beati omnes. exécuté i l'hôtel de ville de Rouen, le zo mars 1811, à l'occasion de la naissance du roi de Rome. C'est à l'obligeance île sa veuve que nous devons ces détails. » CORETTE ( compositeur, vivait 4 Paris dans la seconde moitié du dix-huitième siècle, et écrivit pour le théâtre de l'Opéra-Comique, rivai de la Comédie-Italienne, la musique. d'un grand nombre de ballets, de pantomimes et de divertissements. Je n'ai pu découvrir aucun renseignement biographique sur cet artiste, mais voici la liste de ses compositions telle que la donnait l'almanach Intitulé les Spectacles de Paris ••– « les Ages, bailet-panlornime le Jugement de Midas; Nina, pantomime italienne; Arlequin Persée, Armiie, pantomimes à machines Arlequin boulanger, pantomime en vaudevilles; Diane et Eniymion, ballet-pantomime eléeuté à Paris et a Londres; Concertos comiques, dansé» à l'Opira-Comique les Tricotés Ha mie Margot; la Béquille du père Barnabas; les Pantins, ballet gênéral; la rounère, pantomime. Il a aussi composé la musique de la Fête infernale de Valois, et de plusieurs divertissements des opéras-comiques ̃le MM. Pannard, Carolet, Favart, Lagrange, Uflichard et Vadé. » Je ne crois pas qu'il faille confondre cet artiste avec Michel Corrette, ment') JltMMh <e h)t tortqxe )'" P"MM. ta )Mt, ta Me- |i) J-IgnoraU ce bit lorsque I'» publié, en 191», ta biographie de ce grand article Boiemiuc, ta rie, tet aurres, son raraeldre, $a turrespmianet je n'ai donc pu le mentionner.