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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Supplément et complément. [vol. 1] / par F.-J. Fétis ; publ. sous la dir. de M. Arthur Pougin...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1878-1880

Sujet : Musique

Sujet : Musiciens

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31142028c

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697260

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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à Cerberoy, lieu de naissance d'Eustache. Louis du Caurroy figure parmi lea bienfaiteurs du bu Tcau de» pauvres de Beauvais; Jacques est lieu,tenant de la verderle de Gerberoy dans la seconde moitié du XVII» siècle. En 1625, Antoine du Caurroy est procureur-syndic, receveur de Gr rheroy puU il devient juge à la châtellenie île Caulancourt. KuUache du Caurroy eut pour successeur, à Siiint-Aygoul de Provins, plusieurs années avant sa mort, un de ses parents Claude du Caurroy, protonotaire du Salnt-Siégo, baron de Saint-Ange; celui-ci résigna son frère cadet, nommé François, chanoine de Deauvais, en ioûï. Enlin, un de* arrière«neveux it'Kiistaclie, François-Toussaint du Caurroy, pi.card comme lui, fut comme lui musicien, mais sans réputation, bfcn qu'il touchât les orgues avec hahileté celui-ci était, à la tin du XVII* s:ècle, religieux bénédictin à Melun.

CjYUXtë (Acgustë), amateur distingué, est né à Marseille le 30 novembre 1820. Il apprit la musique de bonne heure et n'a cessé depuis de la cultiver avec talent, il a composé un assez grand nombre de pièces pour le piano, dont quelques.unes, Sur le Nil, la Magicienne, Berceuse, ont été publiées. It a écrit plusieurs motets, des morceaux pour instruments à cordes et piano, et des pièces d'orchestre. Une de ces dernières, le Pèlerinage de Kevlaar, a été exécutée avec succès aux concerto populaires vie Marseille. Ces œuvre* témoignent d'une excellente éducation musicale et d'un sentiment élevé, quelquefois même austère. Plusieurs morceaux de cet auteur on! été gravés en France et en Allemagne.

AL. R.– o

CllLSSIiV DE PERCEVAL (ArhandPiehre), orientaliste français, membre de Tins* titut, fils d'un orientaliste fort distingué lui-même qui était professeur au Collége de France, na.quit a Paris le 13 janvier 1705. Envoyé à Cons- tantinople, en 18it, comme élève Interprète, il parcourut en 1817 la Turquie d'Asie, passa une année parmi les Maronites du Mont Liban, rem. plit pendant quelque temps l'emploi de drogman à Alep, et, à son retour en France, fut nommé (décembre 1821) professeur d'arabe vulgatre à l'École des langues orientales vivantes, Plus tard, professeur de langue et de littérature arabe au collège de France, puis attaché en qualité d'interprète au dépôt de la guerre, il fut élu membre de l'Académie des inscriptions et belleslettres en 18W, en remplacement de Le Prévost d'Iray.

le a'ai pas à m'occuper ici des savants travaux de Caussin de Perceval sur l'histoire et sur

la littérature arabe mats il est un de ses écrits qui intéresse directement l'art musical, et qui doit être mentionné dans ce dictionnaire c'est celui qui a été publié dans le Journal asiatique de novembre et décembre 1873, sous ce titre Notices anecdotiques sur les principaux mu* siciens arabes des (rois) premiers siècles de l'hlamltme. Caussin de Perceval avait étudié la musique, et cela ne lui avait pas été évidemmeat inutile pour mener à bien ce travail intéressant, qu'il ne vit pas paraitre, car il était mort depuis quelques mois lorsque ses Noticet furent publiées dans le Journal asiatique. Cet écrit, qui comprend environ deux cents pages in-8°, est l'un des trop rares travaux que l'on connaisse sur la musique et les musiciens arabes, et l'on comprend de quelle importance il peut être pour l'histoire générale de l'art. Il en a été fait un tirage à part (Paris, Imprimerie nationale, in-8°).

CATELANI (Ancëlo). Cet écrivain musical distingué a publié en 1860 (Modene, Vincenzl, in-4* de 42 pp.) un excellent travail analytique sur les œuvres d'Alexandre Stradclla: Délie opere dlAlessandro Stradella esistenti nelfarchlvio musicale della R. Blblioteca pulatina diModena, elenco con prefazione e note. Ce travail, dédié à Rossini, et dans lequel l'auteur loue justement un écrit précédemment publié sur Stradella, "dans le Ménestrel, par Paul Richard, ancien conservateur à', la Bibilotbèque impériale de Paris, est remarquable non-seulement par sa préface, mais par les notes excellentes et étendues qui accompagnent le catalogue des ceuvres du grand musicien. Il avait été inséré d'abord dans le troisième volume des Atti e Memorie delle ItH. Deputazionl di Storta patria per le provincle modenesi e parmensi. Catelasil est mort peu de mois après avoir publié cet opuscule, le 5 septembre 1866. CA.USSIXUS (JosEt'H-L.V.), virtuose snrl'ophicléide, est né à Montrlimart (DrOme), le 0 décembre 1806. Fils d'un chef de musique militaire qui fut son premier professeur, il était à peine âgé de quatorze ans lorsqu'il devint professeur de solfége au collége île «a ville natale, où il resta jusqu'à l'époque où, étant tombé au sort, il fut incorporé dans le corps de musique du régiment de ligne. Il fut un des premiers artistes qui, lors de l'invention de l'ophiclcide, se livreront à l'étude de cet instrument, et son régiment ayant été envoyé à Paris, il se fit entendre avec un ̃ -.nd succès dans les concerts, et devint parlLMiiiremcnl l'un des solistes les plus renommés des concerts de Musard père. Lorsque Berr, qui avait été son chef de mn<lqw>a