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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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AGOSTINI (Prouts-Simm), chevalier de l'Éperon d'or, né à Rome vers 1650, fat maître de chapelle du duc de Parme. Il a publié Cantate a voce di basso solo Rome 1680. Dans la même année, il a lait représenter à Venise un opéra de sa composition, sous te tilro de 11 Ratto délie Sabine. Paolucci a Inséré dans le deuxième volume de «on Arte pratica di coutrappunto (p. 172-190; lit) Stcut eral à cinq voix, en style fugué, de la coin positon de Pierre-Slmou Agostini, avec des observations critiques.

AGOSTINI (Rosa) était première cantatrice ait théâtre de Florence dans l'année 1777 elle se distingua d'une manière particulière avec Aprile, dans l'opéra de Creso, par Borglii.

AGRELL (Jean), maître de chapelle à Nuremberg, né à iasth, dans la Gothie orientale, étudia la musique et les belles-lettres au gymnase de Linkieping et à Vpsal. Il passa à Casscl en 1 723, en qualité de musicien de la cour, et y resta pendant vingt-deux ans. En 1740, il fat appelé à Nuremberg pour y occuper l'emploi de maître de chapelle, qu'il conserva Jusqu'à «a mort, arrivée le 10 janvier 1709. On a gravé les ouvrage* suivants de sa composition s 1* Sel sinfonie a quattro, cioè violino primo, seconda, viola e eembaio o vloloncello, ton corni da eaeeia, trombe, oboe, flauti dold e tr averti, ad libitum, opéra I Nuremberg, in-fol. Treco»eerli a eembaio obligato coït due violini e violoncello, opera 2; Nuremberg. 3" Treeoncerti a eembaio obbligato, due vlottnl, viola e 9io~toncello,ofen3; Nuremberg.– Tre emeerti a eembaio obligato, due violini, alto viola, vtolontello e basso ripieno, opéra 4; Nuremberg. –&° Sonate a violino solo e eembaio o violoncello; Nuremberg. 6" Concerto a eembaio obligato due vlotini, viola e violoncelle, Nuremberg, 1701, in-fo). Sonata a due, cioè eembaio obbligato e traversiero o vlotino; Nuremberg, 1762, in-4».– VSonataa due, cioè eembaio obbligato e traversiero; Nuremberg, i765,in-4°.–9>Aeucomponirtesolot aflautotravetsoe eembaio; Nuremberg, 1764. On trouvait aussi autre- fois en manuscrit dans le magasin de Breitkopf i 1" Tre concerti a eembaio obligato, due vMini, viola e basso, raeeolta prima. a" td. raceolta seconda. – Jd. raeeolta tenu; V Id. raceolta quarta. s? Sel sonate a violino solo et basso. ô° Vue concerti a viottno concert., due violint, viola basso. 7* Se* sin/onie a due violini, violât basso, con corni, ad ttb. –i" Slnfonia, id, –9" Partita a due violini, viola, basso e corni.– \(f Sonata per eembaio solo.– i\° Concerto a eembaio obligato due violini viola e basso, il* Sonata a vtoltno solo col basso.

A.GRBSTA (JgAS'Aiwwm er Apsrorm), frère», étaient napolitain», et lurent renommés comme compositeurs à la fin da seizième siècle et dans les premières années du dix-septième. Cerrelo les cite comme vivants a Naples en iooi (Pral> ttca musicale, lib. 3, p. 1&6) dans sa liste des Compositori eccellenti della eitià dl Napoti, cite oggi vivono, Jusqu'au moment où cette notice est écrite, on ne connaît pas de compositions imprimas des frères Agrusta.

AGRICOLA ( Rodolphe ), professeur de philosophie h Heidelberg, à Baffeln village à deux milles de Gronlngne, en 1443, fut l'un des hommes qui contribuèrent le pins à la restauration des sciences et des lettres. Son nom propre était Huessmnn, II étudia sous Thomas A'Kempis, et apprit la philosophie sons Théodore de Gaza, dans un voyage qu'il fit en Italie. De Retour dans les Pays«Bas, en 1477, H fut envoyé à la cour de l'empereur comme syndic de la ville da Groningue, et nommé, en 1482, professeur à Heidelberg, il mourut le 25 octobre 1485. Il était à la fois bon peintre, poète, musicien et sa* vant philosophe. Il chantait et s'accompagnait avec le luth on lui dnit la mnsiqoe de plusieurs de ses chansons hollandaises, h quatre voix. On sait aussi qu'il coopéra à la construction de l'orgue de Grontogiie. Parmi su écrits, recueillis à Cologne sous ce titre H. Agricole lucubrationts aliqtiothctudianis»lmie,elù., 1S39, deux vol. in-4",on trouve des notes sur le Traité de musique de Boèce. On a sur sa vie «t sur ses travaux t 1* Oratlones du», prtor de vita Sud. AgrU calus, potlerier de D. Avûustino, par Melancliton Wittenbergie, 1539, fn-80.– Dissertatto de Rud. Agricola, Frisii, te elegantkwes lit'feras promerilis, par J. F. Slioeppœlin. Jen», 1753, ta-4". Vita et mérita Sud. Agricote.parT.F.TreslIngjGronrague, 1830, in-8». AGRICOLA (Martin), chantre (') et directeur do musique a Magdebourg, naquit à Sorau, en Silène, dans l'année 1488. Dès son enfance, un goût passionné pour la musique se manifesta en lui et le porta à se livrer avec ardeur à l'étude de cet art, «ans négliger toutefois les langues grecque et latine, dans lesquelles il acquit une rare instruction. Né de parents pauvres, il fut obligé de pour voir de bonne heure à sa subsistance. Vers la fin de 1610, II partit pour Magdebonrg,II donna d'abord des leçons particulières de musique et de littérature. Quatorze ans après, c'est-à-dire en 1524, la grande école luthérienne do cette ville fut établie} le mérite généralement (i) u mttamtor, «mpl&yépar le» Allemand». MmnU ;e traduit* exactement «n françoh, pares «ail <M*lgi» la (onctions qui n'alitât que chez eu.