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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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point à quitter cette ville pour se rendre à Batli, puhi & Dublin, et enfla à Manchester, od ilétablit une filature. Malheureusement «es spéculation» ne réussiront point, et» M obligé de quitter son établissement avec perte. Il revint alors à Londres, ob (I entra comme contrebasse au théâtre italien. Peu de temps aprea Arnold ouvrit le théâtre appelé le lycée, etAddlsson lut engagé pour composer la musique de quelques petits opéras, tels que Mp Uncle, My Aunt Two Word* ou SWenf not Dumb, Frue and Baty, etc. 1) a écrit aussi pour le théâtre de Covenl-Garden la musique de Robinet the Bandit, et arrangé celle de Boleldieu sur le drame de Rosé d'Amour, traduction du Chaperon Rouge. Outre cela il a publié des airs, duos, giees, etc., et s'est livré a l'enseignement du citant

ADELBOLD, dvèque iTUtrecht, vers la Ba du dixième siècle, d'une famille noble du pays de Liège, étudia dans cette ville et à Reims s devint l'un des plus savants hommes de son temps. Sa réputation s'étant répandue en Allemagne, l'empereur Henri II l'attira à sa cour, l'admit dam son conseil, le nomma son chance» Mer, et lui Ot obtenir révêehé dTJtreelrt. lient de succès, loin de satisfaire l'ambition d'Adelbotd ne lit que l'augmenter. Il fit longtemps la guerre à Oiderie, comte de Hollande, et ravagea ses Etats, parce que le comte avait refuté de lai céder 111e de Merwe située entre la Meuse et le Walial. Forcé de faire enfin la pah il cultiva les sciences, fonda des églises, et ne cessa de travailler à la prospérité de «on diocèse jusqu'à sa mort, arrivée le 27 novembre 1027. Au nombre de aea ouvrages se trouve un traité Intitulé De Muska, que l'abbé Gerbert a inséré dans sa collection des Scriptores eccletiast. de musica tacra, etc., t. 1. p. 303. Le style d'Adelbold est plus élégant que celui des écrivains de son siècle; mais son ouvrage est de peu d'intérêt.

ADELGASSER ( Amom Cajctah ) A Lucerne, en Suisse, te a avril 1728, dt aa études musicales sous ta direction d'Éberltn maître de chapelle à Salzbourg. Plus tard il devbat organiste et claveciniste de cette cour. Dès 1757 Il s'était acquis la réputation d'un bon organiste etd'un accompagnateur habile sur le piano. Devenu premier organiste de la cathédrale et de la cour, il en remplit les fonctions jusqu'à sa mort, qui eut It lien le 23 décembre 1777. Ses compositions lui avaient fait aussi beaucoup d'honneur, quoiqu'on lui reprochât d'imiter trop le style d'Ëberlinson matin. Adeigasser n'a rien fait imprimer, mais il a laissé dans les archives de la chapelle de Sahbourg plusieurs compositions importantes

pour l'église particulièrement des messes avec orchestre.

AU£LIN£(UU>). Yo,. R1GGIER1 (Aotune). ).

ADE1VEZ, trouvère et ménestrel, connu aussi nous le nom à' Adam le Roi, parce qu'il était roi des ménestrels français. vécut dans la treizième siècle, et fut attaché an service de Henri lII.ducdeBrabant( qui mourut en nco). Adenei jouait de la viole, car il est représenté tenant cet instrument, dans une miniature du manuscrit du roman de Berlht aux Grand* Pieds, qui est à la Bibliothèque impériale, à Paris (Supplém. du fonds du roi n* 428 ). On a aussi de lui les romans de Guillaume d'orange ou Guillaume au Court Nés, de V Enfance tFOgier le Danois, de Cleomodes, et dAymeri de Narbonne. Adenex, dans un de ses fabliaux, nous apprend que ce fut la due Henri III qui lui fit apprendre son art t CtUmfaCUomad*.

WnwHeUroUdene».

Ménestrel au bon duc Henri

FoL Cil nul»* et norri

Et ma fl»t non meetter apprendre,

Dieu ren veille guerdoo rendre

Aveu «« une en paradl»,

ADHÉMAR (Gonumis), troubadour et jongleur du treizième siècle, était fils d'un pauvre gentilhomme de Marveil on Marvéjols, dans le Gévaudan. Sans fortune et hors d'état de soutentr fêtât de chevalier, Adhémar se livra à la poéaie, à la musique, et composa des chansons d'a- mour qu'il allait elianter dans les châteaux. S'il fut aimé il fat aussi vraisemblablement trahi 0 car parmi ses chansons il en 'est de satiriques dans lesquelles il se plaint de l'inconstance des femmes, et qui ne donnent pas une haute opinion de leur chasteté & l'époque ob il vécut. On croit que Guillaume Adhémar passa quelque temps à la cour dé Ferdinand 111, roi de Castille, et que, dégoûté du monde, Ii entra dans l'ordre monastique de Grammont. On trouve parmi les manuscrits deSainte-Palaye.a à la bibliothèque de l'Arsenal de Paria, dix-huit chansons de ce troubadour.

ADHÉMAR (Le comte Abu. d' ) amateur de musique et compositeur pour le chant, est né d'une ancienne famille à Paris, vers I8i3. En 1836 il commença a faire connaître son nom par des romances qui obtinrent du succès. Son goût le portait vers les sujets dramatiques pour ces petites pièces, et la plupart de ses premières productions sont un indice de son penchant à cet égard en voici les titres i U Bravo, le Brigand calabrais, le Cattran, l'Esclave chrétien, le Forban, le Kabyle, le Laizarone, Malheur à