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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...
Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte
Éditeur : Firmin-Didot (Paris)
Date d'édition : 1866-1868
Sujet : Musiciens
Sujet : Musique
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 8 vol. ; in-8
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Description : Bibliographie
Description : Biographie
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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Dttportes, miièqvaUefartiet.Va^n Adrien Le Roy, 1679.
BLANC (Hubeot las). Vote» Lwusc. BLANC (Aoowbb), violoniste et eoroposi- tror, né à Msnosque (Ba»e*Alpes), le «4 jute M28, fut envoyé a Pari* à l'âge de trais» an», entra au Conservatoire en 1841 dans une classe de- violon, et y obtot au concours on prix de cet instrument. Il y fit ensuite des études de com- position ou la direction d'Halévy. Ce Jeune artiste «e distingue par le genre sérieux de «escompositions, aeepUon fort rare en France dam ce temps da musique futile. Su ouvrages le» plus importante sont! i» Trio pour piano, r violon et violoncelle. V Trio pour piano» flote et violoncelle. S» Tri» pour piano., clarinette et violoncelle. 4» trio pour violon, alto et viotoocelte. fi-0 Trois «aatuers pour instruments à cordes. »• QuaWw pour piano, violon, ail» et violoncelle dédié à Rossini, et publié avec une lettre de cet nomme célèbrey à Parte, ches Riehault. – 7» quintettes pour 9 violons, S aHos et violoncelle. 8» » qatotrtte* pour 3 violons, alto, violoncelle et contrebasse. – 9» Deux sonates Pour pian» seul. – io» Trois «mate* pour piano et violon. –U» Quintette de concert pour piano, violon, alto, violoncelle et contrebasse – no Quintette pour flûte, clarinette, cor et basson. On a aussi de M. bue une sérénade pour piano et violon étude pour violon seul; deux romance» pour violon- celle} la Far/alla, petit scherzo pour Kallo avec aeeompag»ementdepianoohligé;descli<Btin>S8U8 accompagnement^ pensée* fugitives pour piano f air varié pour le même instrument aveo un petit rondo. Quelques-unes de ces compétitions ont été exécutées avec succès à Paris dans les séances de quatuors et de quintettes. Toutefois il est à craindre qu'il n'f ait un peu trop de baie dans le travail de M. Blanc t avoir lait lent de choses,- dans un genre difficile, à trente et un ans r C'est beaucoup. A trente ans, Beethoven avait publié trois trios de piano, et avait condamné à- l'oubli les autres productions de sa Jeunesse.
BLANCANI (Joseph), en latin Maneanm Jésuite, né à Bologne en JW6, fut profesxenr de mathématiques» à Parme, et mourut dans cette ville, le 7 Juin IBM. Il a expliqué les problèmes harmoniques d'Arislote dans un livre qui a- pour iWx* x ArUtoUlls locamUhmatiea ex «ntvertit «jus operibnt.colteeta et exptteala. Bologne, 1615, in-V. Les explications de Kancani ne sont guère moins obscures que les problèmes du philosophe de Slagyre. On a publié après sa mort un ouvrage de sa composition, intitulé
Echome(ria,tivetraclatmde Béton Modène, »o&3, in-folio.
BLANCHARD (Esrarr-losEra-AimHiiE) abbé, l'un des maîtres de la chapelle du roi, dut h Jour a un médecin de Pernes dans le Comtat, et naquit le 2a février 1600. Après avoir été en- fat de chœur & la métropole d'Alx, sous la dl- reclion de Guillaume poitevin, II fut nommé maître de musique du chapitre de Saint- Victor, a Marseille, à l'âge de vingt et un ans. De là il passa à Toulon, puis k Besancon et à Amiens. En 1737 il fit chanter devant le roi le motet laudate Dominum, de sa composition, dont on fat si con.tent qu'on Ini donna une des quatre charges de maîtres de la chapelle da roi, vacante par la mort de Bernier. Il obtint aussi un prieuré en 1749, avec une pension sur une abbaye, et en 1748, on le fit directeur des pages de la musique. le roi lui accorda en t7«4 le conton de Saint'Michel, vacant par la mort de Ramena. Blanchard est mort à Versailles, des suites d'une fluxion de poitrine, le 10 avril 1770. La Bibliothèque impériale de Paris possède un recueil manuscrit de motets de cet auteur. CafOaoi rapporte dans son histoire de la musique (Mss. de la même Bibliothèque), l'anecdote suivante > « Un « musicien de la chapelle de Versailles m'a ra« conté qu'un des plus grands mallres d'Italie étant venu rendre visite à l'abbé Blaacbard, et ayant examiné quelques-unes de Ma parti« dons, fut si surpris, que n'ayant point de « termes asses forts pour marquer son admira- « tionr il se prosterna aux pieds du musicien e» « posture d'admiration, avoaant qu'il n'avait Ja<r mais rien vu de si beau. » Je ne sab quni pou. vait être ce grand maître d'Italie, mais J'ai examiné la musique de l'abbé Blanchard, et je l'ai trouvée assez plaie et mal écrite,
BLANCHARD (Hcnm-Loou), violoniste, compositeur, littérateur et critique, né à Bor.deaux (Gironde), le 7 février 1778, mort à Pari» le 18 décembre 1S59. Son père lui donna les premières leçon» de violon, et Beck dirigea tes premières études d'harmonie. Plua tard il reçut des conseils de Rodolphe Kreulster pour son talentde violoniste. Arrivé |eune à Paris, il étudia le contre-point et la fugue sous la direction de Waller.qui sa disait élève de Haydn, puis de Méhul et deRelcha. Devenu chef d'orchestre du Théâtre des Variétés en 18*8, Blanchard conserva cet emploi Jusqu'en Ma», et dans celle partie de sa carrière Il composa une multitude d'airs de vaudeville pour tes pièces nouvelles, oii l'on remarquait des mélodies faciles que rele.vait un certain cachet d'élégance et de distinction. La plupart de ces airs sont deve-