Rappel de votre demande:
Format de téléchargement: : Texte
Vues 443 à 443 sur 522
Nombre de pages: 1
Notice complète:
Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...
Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte
Éditeur : Firmin-Didot (Paris)
Date d'édition : 1866-1868
Sujet : Musiciens
Sujet : Musique
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 8 vol. ; in-8
Format : Nombre total de vues : 522
Description : Bibliographie
Description : Biographie
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 69%.
refuge à Pari*, où il ttublit une nouvelle imprime- rie. 11 cultivait tes l«ttie«. Au nombre des opus- rate» qu'il « publié», on romarquecelul-ci Rossini elta musique; Paris, Ctltoni, 1836, 16 p. iicS*. BETTS (Joint), luthier anglais, a joui de beaucoup de réputation dan» ton pays à la On ilu ilix-liutlièmo siècle et au commencement du j dix-neuvième. Il travailla à Londres depuis 1787 iuxqu'en 1823, époque de sa mort. Les iD«tru- mente qu'il fabriqua, et surtout le commerce i|u'll fit des anciens violons, altos et basses de Crémone, lui firent acquérir une fortune consi- dérable, dont tes neveux, Joint et Arthur Belts, ont hérité. Ceux-ci conUnuent «a lutherie et ont obtenu une médaille à l'exposition de 1851, IHwr des imitations de violons d'Amati. BETTS (ARTBvn), neveu du précédent, violoniste anglais, naquit dans le comté de Lincoln, vers 1780. Son frère, fabricant de violons à Londres, l'appela près de lui, et lui fit donner les premfèn»(«çons par Htodraareb, violoniste médiocre; mais, après quelques mois, il eut le bonheur de passer sons la direction de Viotti. Il reçut aussi des leçons d'Eley et de Russe! pour l'harmonie, et il fut un des plus habiles professeurs de l'Angleterre. On a de lui plusieurs ouvrages pour le piano et pour le violon. BETZ (Suzanne- Jacobine), connue sous le nom de M"* Jungert, née à Augsbour&en 1746, y prit des leçons de musique de J. G. Seyfert, et devint une cantatrice excellente. Vers 1768, eUe passa au service de la cour de Munich, en qualité de première chanteuse des concerta, et y réunit tous les suffrages. Elle vivait encore à Munich vers 1811,
Une autre cantatrice de ce nom. Ml* Éroilia Betot, née à Cobourg, a'est tait remarquer comme cantatrice douée d'un beau talent, a son début en 1845, dans La Fille dit régiment, jouée au théâtre de la mir de Swe-Cobourg. L'éduca.tion vocale de Mite Bela avait été faite à Vienne et à Paris.
BE(IF(Jbah us). Vo». Uxem.
BEORHUSIUS(FmîwSmc), philosophe allemand, né à Menertehagen, était corectear à Dortmund, en 1573. On a de lui Srolematum muskw llbri duo, ex opUmis liujus arlU seriptoribv* vera perapicuaque mtihoio deserlptl s Nuremberg, 155i,in-«o. Forkel n'a pas en connaissance de cette édition, qui est à la Btbliothèque Mazarine. II y a des éditions de cet ouvrage dattes de Nuremberg 1573, 1580, 1585 et 1591, tolites in-fc". Celle de 1585 est accompagnée d'une préface de Jean-Thomas Freig, recteur à Altorf. Tontes ces éditions sont également rares. L'onvrago de Deurhtisiw n'est
pas sans intérêt pour l'histoire de la mu«i.)m>. BEURSE ( Pietuws ou Pirbqoir), ortiaiiiHtë de la chapelle de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, parait pour la première fois dans l'état (Je cette chapelle, dressé au mois de novemble 1474. Son nom est inscrit dans te» régime» sous ces formes Beurtt, Beurst, Sursin.et Yeurte (1). Beurse se trouve encore dans les états de la chapelle ducale de Bourgogne en 1480 et 1481 mais il n'est plus dans celui de novembre 1492, etûomart, surnommé Nepotls, y est Inscrit comme son successeur dans la place d'organiste. Une chanson à trois voix, sou» le nom de Beurt se trouve dans un manuscrit qui a appartenu à Pixérécourt (voy. ce nom) et qui est passé en Angleterre il est vraisemblable qu'elle appartient à l'artiste dont il s'agit ici. BEUTLEIMJeAB-GEORQBfi-UMJuao), corecteur à l'école de Malhausen, a publié en 178s, chez Breitkopf et Hœrtel, à Leiptick, de Conversations musicales pour le piano, en deux parties. Il arrangea ensuite à quatre partie» d'anciennes mélodies chorales du dix-septième siècle, sur lesquela Demme avait mlsde nouvelles paroles. Après avoir soumis ce travail au savant organiste Umbreit, fl le publia sous ce titre z Nouveaux cantiques de Demme sur d'excellente* mélodies anciennes, arrangée* avec accompagnement de piano m orgue; Gotha, Becker 1799, in-4°. On a aussi sou» le nom do Beutler des Uenuett brillants pour le piano; Leipslck, 1800.
BEtriXER (BEKMitiN),né à MOtilliausen le décembre 1793, est mort le 2 janvier 1837 dens la même ville, où il remplissait les places de directeur de musique et de secrétaire du gymnase. Après avoir terminé ses première* études dans ce collège, il alla suivre les cours de l'université de Gottingue, où il s'adonna partientièrement à la théologie. L'amour de la mu.aiqueleliaavecForkel. De retour à llublbaiisen, il succéda à son oncle en 1814 dans la place d'organiste à la Morientirche ( l'Église de Sainte-Made). Quelques années après, le magistrat de la ville le nomma directeur de musique et 8oua-recteur du gymnase. Il devint en quelques années l'âme du mouvement musical à Muhlliausen, établit des chœurs de garçons et de filles dans les écoles, et fut le fondateur d'une société de chœurs d'hommes, en 1830. Enfin it organisaà Mûhllwusendegrandesfetes musicales, dont il fat le directeur. Homme religieux et d'une moralité sévère, il jouissait de J'cstim» générale. H a été l'éditeur, conjointement avec U) ColltcttoD de* tettres patentai de l'Andicnce, oui archives du royaume de Belgique.