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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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inand*, sur la tyrolienne de Mm* Gail, la ronde û'Bmma, de M. Auber, les airs <le la Dame blanche, etc. Toua ces morceaux ont été gravé* à pari*.

BERLS (JBW-Houowae) organiste et compositeur, naquit à Alacb près d'Erfurt te 8 mai 1758. A l'âge de huit ans il prit de* leçons de piano et de violon de KrewmuUer, et Wecbmar lui donna dos leçons de chant. En 1771 il entra ait gymnase d'Erfûrt, et se lia d'amitié avec quel- ques élèves de KitteJ qui lui enseignèrent à jouer <le l'orpe. Beiehardt, recteur du gymnase et or- ganiste de l'église du Commerce, lui donna ensuite des leçons d'harmonie et de composition. Nommé en 1780 organiste à Nœda, daos la Thitringe, il y a passé le reste de ses joun. Il « composé des morceaux de musique d'église pour toutes les fête» do l'année, des oratorio», des cantiques, des symphonies, des sonates à quatre mains pour le piano, et quatre-vingt-seiie variations sur un air allemand. Tous ces ouvrages sont restes en manuscrit. H a publiée Lelpsick, en 1797, Trente mélodies nationales pour de piano. Un second recueil devait suivre le premier, mais il da pas para.

BERMANI ( ) amateur de musique et littérateur a Milan, a publié on petit écrit fa- titulé: SehtsstsuUavUa esuUeoperedetmmtro QHueppe Verdi (Esquisses sor la vie et les œuvres du maître Joseph Verdi). Milan, Ricordi.In-80.

BERMEJO ( Pbdbo) maître de chapelle de la cathédrale de Salamanque vers la lia du XVI* siècle, a laissé en manuscrit de très-bonnes compositions qui se trouvent dans les archive» de plusieurs églises d'Espagne.

BEBJUUOO (Jsan). moine franciscain à Eiojà en Andalousie,à Assigi en Bœtlqoe, vers 1510, a écrit un traité-de musique., dont le premier Uvre a paru sous ce titre Comiença el (tbroprimero de la déclaration de instrumentas dirlgidô al clemenUsskm y muy padroso Bon Jean lercero dette nombre Rey de Portugal. A la fin de ce premier livret on trouve «ette souscription Fuimprusa la prosente obra en la villa de Ossuna par el honorado Varon Juan de Leon, impressor de la VnivenUai del UlustrlssimoSeRordon Jwn Telles Giron, conde de Vrena, etc Acabose le a die» y siete dias del mes de setttmbre aho del SeAor de mil y quindentos y qvarcmta y nueva ( le 17 septembre 1549) y/ue la pri- mera impression esta, ln-4°. Ce volume ( tris- rare) est compote du 145 feuillets chiffrés au recto. A la findu 144e feuilleton trouvecesmots: Fin del Ubro primero. Il est évident que d'au- j

Ires livres devaient suivre le premier; car l'an* leur ne traite dans celui-ci que des principes <la la musique, du cliant et non des instrument*, comme In titrage l'ouvrage l'annonce. Or on Ht au feuillet xtn (verso) t) y a trois sortes « d'instruments dans la musique; les uns sont « appelés naturels ce sont les hommes, dont la « cliant est dit harmonie musicale. D'autre* sont artificiel» et se jouent par le toucher, tel* « que la viole, la harpe et leurs analogues t la « musique de ceux-ci est appelée artificielle ou « rhythmique. La troisième espèce d'instm- « ments est pneumatique, comme la flûte, la « dosçaine et les orgues (i). » On voit qu« la suite de l'ouvrage devait traiter des instruments a cordes et à vent. M, Harlano Soriano Fuértes nous apprend, en effet ( Bistoria de la musica etpagiola, iom. II, ptg. 120, n. 2), que la Bibliothèque nationale de Madrid possède l'ori- ginal des quatre livres de l'ouvrage de Bernmdo dansla section des manuscrits. SI l'édition de 1699 indiquée par te catalogue de la Bibliothèque musi- cale du roi de Portugal dressé par Craesbeck n'est pas une faute d'impression, elle doit être la troisième, car Nicolas Antonio en ette une antre {Bibliot. hisp.) sous ce titre Ubro de la déclaration deinstrumtntos; Grenade, 1555, in-4<>. Walther ( Musical. UxUson ) s'est trompé d'an siècle en portant l'édition de 1549 à 1649. BERNABEI ( Josbpb-Hbbcoie ), savant compositeur de l'École romaine, naquit vers 1630 à Caprarola, bourg du États de l'Église. Il eut pour maître dana l'art d'écrire Horace BenevoH. Ses études étant terminées, il rempUt d'abord les fonctions de mattre de chapelle à Saint Jean de Latran, depuis le mois de décembre 1663 jusqu'à la fin do mois de mars 1667. De là il passa au service de l'église SaintLouis des Français. A la mort d'Horace Benevoit, son mattre, le chapitre du Vatican le nomma son successeur, comme maître de la cha- pelle Giulia, le 20 juin 1672; mais il n'occupa cette place que peu de temps, car Jean Gapard de Kerl ayant quitté le service de la cour de Munich en 1673, le prince électoral de Bavière appela Barnabei pour lui succéder (2). (l)Tra InttniaenK» «y para Mmlca; onos se ltimai) notatalM, y «to* son lu nombm el canut de ton qimtoi «* dlclu haraianla musical. Otto» «m attUdaln «t to- que, y «»' vlbuel»,b.irpo y «aotwauvaatn: la miuUa de lu quilrt ci dicta arllfictal, o rhyltimlo. Ut lerttn» '1 InstrunwDtM wn de «yra.eomo «s le flaata, daçajrna y organo».

(S Ruroey, qui a «<« copie par le* auleun du Dictionnaire des musicien* ( Parla, isio ) et par ItibM Bertlnl (Cljtlon. diftl tcrUtuii di muitra). ta Wmb* dans une «logiillcre Inadvtrunco sur la date de domination