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Titre : Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. T. 1, Aaron-Bohrer / par F.-J. Fétis,...

Auteur : Fétis, François-Joseph (1784-1871). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot (Paris)

Date d'édition : 1866-1868

Sujet : Musiciens

Sujet : Musique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304321593

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. ; in-8

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Description : Bibliographie

Description : Biographie

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k697171

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-7168

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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de», à quatre voix et orchestre, œuvre 18, IbW.j 4* Te Beum, à quatre voix et orchestre, en latin et en allemand, op. 19, ibul.; &• Collec- Ilon do chants religieux pour soprano, alto, ténor et basse, sans accompagnement, première suite; Ibld. e> L'ancienne mélodie du cantique Herr Gott dich loben wir» avec un autre texte, arrangée pour quatre voix, quatre trombone*, trompette», timbales et orgue; partition, Ib. La plupart de ces compositions ont été exécu- tée* dans les églises d'Allemagne, et y ont pro- duit beaucoup d'effet. Poua ts min-ni –;° laura et Fernando, opéra en trot* actes. f Die Wunderliur ( U Cure merveilleuse), en itoi« actes. 9e iMt gegen tt**(Ru*e contre ruse), intermède en un acte. – lo° Erwin et Blmlre (de GeMhe), opérette an un acte. II* Dos Stsendclten (la Sérénade), intermède. ~lt LaFête anniversaire de la naissance in poite, vaudeville avec des airs nouveaux. 13« tntgemhl (la Sympathie), vaudeville le ivee des airs nouveaux. Pour l'orchestre 14" Symphonie, œuvro 12; Leipsiek Hotmeia- ter. 16» Symphonie concertante pour clarinette et basson, enivre cm; – Pooa ucbaubrb l«* Troto sonates pour piano, violon et vieloncelle, «uvre l»slelp«lck,Br. et Haertel. –\r SU danses allemandes pour le piano, op. 1 1 Lelptick, Hofineister; «• Variations sur God tm tlu Klng, pour le piano; Leipsiek, Peter*. 19o Oe,n recueil, de chansons allemandes pour plusieurs voix, avec accompagnement de piano, œuvres 7 et 16, iUd* 20' Air pour voix de soprano, avec chœur et accompagnement de piano; Leipslcb, Hoiinelster. ai» Cantate de nom pour quatre voix, avec accompagnement de piano, op. 20. – îî» Huit suites de Mot pour soprano, ténor et basse, avec accompagnement de piano; Lehufck, Peter». 23' le Gotytf, chanson à voix seule, avec accompagne' ment de piano. Ce morceau, qui a obtenu un métis populalre.aété publié dans toutes tesgran- des derniers ouvrages de Bergt sont un petit écrit qui a pour titre i Etwas «m Choral und dmen ZubehOr (Quelques mol» sur le chant choral et sur ce qui s'y rattache), pour l'usage des séminaires; Leipeick, Kuramer, ln-8», 18SÎ, et un autre écrit intitulé s Brtf/wechsel eines alun vnd jwtçen Scltulmttters Qber allerhand Muiiallickes (Correspondance de deux maîtres, d'écoles, l'un vieux, et l'autre jeune, concernant toutes les choses raaslcaiea)szutaa et Lelpddt, I838,in-fol. obi. I» onvrage «.éW publié après la mort de Bergt par C6. Héring(voy. cenom), qui y a ajouté la biographie de l'auteur et le catalogue de ses œuvres.

Ces lettresont pour objet principal l'art de l'instrumentation, particulièrement pour les petit» orchestres. Bergt mourut à Bautoen le 10 février 1837, à l'âge de soixante<cinq ans. C. Geistler a publié la colleoUon d», ses pièces d'orgue, & à Leipslck, chez Peter».

BEBINGER (Matmme), cantor à Weissembourgen Kortgaw, au commencement du dix-septième siècle, a publié un Traité élémentaire de l'art du chant, sous ce titre s Umiea dot Ut die Slnglnmtt der Heben Jugend, sum Besten in Frag und Anlwort ver/aisl; Nuremberg, IMS, to-8». Une deuxième édition améliorée de cet ouvrage a paru dans la même ville, en leto, deux parties in^o.

BERIOT (Ciuaies-AuoosTE de), violoniste eélèbre, issu d'une famille ancienne et conaldérée, est né à Louvain le so février J80î. Orplielln dès l'age de neuf ans, U trouva dans M. Tlby, professeur de musique en cette ville, un tuteur, ua second père et un mattre qui sW capa avecièle de développer se« heureuM» dis.positions pour la musique. oéja Il était parvenu à un certain degré d'habileté sur le violon et ses progrès avaient étés! rapides, qu'il put se faire entendre dans le concerto de Vlotti en la mioeur (lettre H ), avant d'avoir atteint sa neuvième année, et qu'il y excita l'admiration de ses compatriote». La nature a donné à Ds Bériot le sentiment d'une exquise Justesse d'intonation qui s'est unie, dans son Jeu, à un goet naturel plein d'élégance. Douéd'atllenrs d'un esprit méditatif, et m'ayant aucun modèle qu'il pnt imiter dans ce qui l'entourait. il cherchait en lui-même le principe du beau, dont H ne pouvait avoir do no.tions que par l'action spontanée de son Individu»,lité. C'est peut-être ici le leu d'examiner ce qui » pu donner lieu au bruit qui sVtait répandu, qu'il avait été l'élève de Jacotot. Ce falt.accré- dité par l'auteur de l'enseignement universel, et par les déclarations de De Bériot Ini-meme, exige quelques explications. L'attention générale des habitants de la Belgique était fixée, depula plusieurs années, sur les résultata qui paraissaient avoir été obtenus par la méthode de Jacotot les progrès en toute chose tenaient, disalVon, du pro. dlge. De Bériot voulut savoir quels avantages il pourrait retirer pour Ini-meme des procédés de cette méthode;. eut des entretiens avec son inventeur, et n'en apprit guère que deux choses, à savoir, que la persévérance triomphe de tous les obstacles, et qu'en général on ne veut pas sincèrement tout ce qa'on peut. Le jeune artiste comprit ce qu'il y avait de vrai dans ces propositions, et son Intelligence sut les mettre à profit. Voilà comment De Bériot fut l'élève du